• La Nature Humaine : Les Masques

    "Quoi qu'on en dise, c'est au visage qu'il faut regarder les Hommes, mais il ne faut pas prendre leur masque pour leur visage."

     

    Nous portons tous un masque. Qu'il soit grand ou petit, beau ou moins beau, réaliste ou irréaliste. Mais tous les masques on un point commun : Ils ont le même but et la même raison d'être.

    Nous savons tous que certain d'entre nous n'agirons pas de la même manière face à une situation donnée si les protagonistes de cette situation ne sont pas les mêmes. D'autres agirons de la même manière restant fidèles à leurs principes, même si cela déplait. Pourtant nous pouvons constater que cela est loin de déplaire : Ces personnes ont souvent plusieurs autres personnes derrière eux adhérant à leurs principes ; et provoquent bien souvent l'admiration des personnes n'y adhérant pas.

    Un masque est donc une image de nous même, plus ou moins travaillée que l'on montre aux autres. Combien de personnes vivant un malheurs, on montrées que tout allaient bien ? Combien de fois avons nous dissimulé nos défauts, et mit l'accent sur nos qualités ? Combien de faux sourires et de faux semblant ?

    La raison de porter un (ou même plusieurs) masque est la même pour tous, et nous pouvons la trouver en faisant la corrélation entre les deux catégories de personnes citées plus haut : La première essaye de plaire à tout le monde, en changeant ou en adaptant son comportement selon les personnes qu'elle côtoie ; la seconde garde le même comportement, tout en sachant pertinemment que cela plaira à la majorité. Nous essayons tous de plaire. Les masques que nous portons nous protègent de l'éventuel rejet des autres si nous montrerions notre vrai visage. Et pour arriver à ce fait, il est donc nécessaire d'avoir une part de superficialité dans notre comportement, de travailler plus la forme que le fond, car c'est la forme que nous montrons en premier lieu au monde (Et certain porte un masque tellement grand qu'ils ne montrerons jamais leur fond, ceci toujours dans le but de se protéger).

    L'exemple type de la superficialité est le fait de prendre soin de sont apparence. Certain me diront que si nous prenons soin de notre apparence c'est pour nous et non pour les autres. Pourtant je ne pense pas que ces personnes, si ils étaient seules sur une ile déserte, perdraient leur temps à se coiffer, se maquiller, et choisir le bon assortiment de vêtement. Ici je ne parle pas de l'hygiène, nous aimons tous être propre et se sentir propre, même si certain pousse cela à l'extrême. Je parle d'apparences. Si nous aimons nous faire beau ce n'est pas pour nous, du moins pas directement, mais bien pour les autres. Je dis pas directement car le fait de plaire au autres à pour raison de nous plaire à nous même indirectement : C'est à travers le regard des autres que nous nous trouvons beau ou moche, et cela nous fait forcement plaisir lorsque l'on nous trouve beau. L'image que les autres nous renvoient de nous même est importante, et cela nous blesse lorsque cette image est mauvaise, et nous rend joyeux lorsqu'elle plait. Nous somme donc tous superficiel, à un à niveau plus ou moins important, car nous prenons tous soin de notre apparence, et de ce fait, de ce que nous transmettons aux autres. Cette superficialité physique s'accompagne donc forcement d'une superficialité psychique, aussi bien dans les choix de nos actes que dans la facons de nous exprimer, puisque travailler notre image physique ne suffit pas du fait que nous interagissons les uns avec les autres. Exemple avec ce que disait Jules Renard sur la charité : "La charité c'est l'hypocrisie qui donne dix sous d'attention, pour recevoir vingt francs de gratitude." ; pour la même raison que se faire beau afin de plaire pour recevoir une bonne image de nous même, si nous sommes généreux c'est également pour plaire et se plaire par conséquent.

    Nous ne montrons donc pas qui nous sommes réellement, du moins pas à la très grande majorité des gens. Le fait de nous cacher sous un masque traduit alors une espèce de mensonge que nous disons quotidiennement et perpétuellement au gens, afin qu'ils pensent que nous sommes ce que nous ne sommes pas en réalité, et ceci pour qu'il nous aiment. Un des synonymes du mensonge est l'hypocrisie, nous sommes par conséquent tous hypocrite à des degrés diffèrents. Nous faisons les choses par rapport aux autres, pour nous apporter leur gratitude, leur satisfaction et leur amour ; et non par rapport à ce que nous sommes au fond de nous. Et comme tout le monde cherche à plaire à tout le monde sur les mêmes critères, notre culture a fait de nous des individus parfaitement identiques, portant des masques plus ou moins differents pour ressembler à la même chose.

    Ne serait-il pourtant pas mieux d'être soit-même, et d'etre aimé pour ceq ue nous sommes ? Car le personnes qui nous aiment, n'aiment en réalité que ce que nous leur montrons, c'est à dire une image qui n'est pas nous. Et lorsque l'on nous aime pour cette image, pour ce que nous ne sommes pas, il devient impossible de s'en débarrasser par peur de perdre ce que l'on a, au final, même pas acquit. Et quel lourd fardeau...

    Pourtant cette hypocrisie qui a embrasée le monde au point de donner un masque à la planète elle même, n'est pas dans la nature de l'Homme. Un bébé lorsqu'il vient au monde, est comme un disque dur vierge qui se remplira au fur et à mesure de son développement par ce qui compose sont environnement sociale et physique, et sa psychologie se déterminera par rapport à cela. Le livre "Les enfants sauvages" de Lucien Malson montre concrètement ce phénomène : Cela parle d'enfants élevés par des animaux comme des ours, des moutons ou des loups ; ces enfants sont dépourvu d'humanité dans le sens comportementale, et n'ont d'humain que leur corps et leur capacité d'apprentissage. En d'autre mots, un enfants élevé par des ours sera psychologiquement un ours ; par des loups, un loup etc... Un enfant ne nait pas hypocrite, il apprend à l'être. D'ailleurs il n'est pas rare de voir un enfant dire des choses qu'il ne devrait pas dire, et cela parce qu'il ne comprend pas encore l'intérêt de porter un masque. Par conséquent, les enfants ont encore à bas age la sincérité naturelle propre à l'Homme.

     

    "Le bonheur ? C'est vivre dans la réalité et ne pas porter de masque."

     


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  • Commentaires

    1
    Azur
    Dimanche 11 Mai 2014 à 09:54

    Ce texte a 2 ans, je suppose que votre pensée a évolué depuis. J'ai rarement lu autant de conneries. Étonnant de lire ça quand on voit que vous présentez des psychopathologies, on pourrait penser que vous possédez un certain savoir de la psychologie. Magnifique exemple de l'erreur fondamentale d'attribution, et de la norme d'internalité sociale propre à nos sociétés libérales. JL Beauvois doit se retourner dans son lit.


    "Nous portons tous un masque" J'aimerais connaître les études de psychologie expérimentale qui vous permettent une telle affirmation.


    "Nous savons tous que certain d'entre nous n'agirons pas de la même manière face à une situation donnée si les protagonistes de cette situation ne sont pas les mêmes. D'autres agirons de la même manière restant fidèles à leurs principes, même si cela déplait."


    Ca y est, déjà une des pires aberrations de ce texte. Le comportement d'un individu en interaction sociale dépend uniquement des individus présents dans la situation, et de ses principes ?  Je vous invite à vous documenter sur la psychologie sociale...


    "Combien de personnes vivant un malheurs, on montrées que tout allaient bien ?"


    Donc c'est l'hypocrisie de l'individu qui détermine si elle va affirmer qu'elle va mal ? Ne serait-ce pas plutôt l'effet de la norme sociale entraînant des jugements de culpabilité sur un individu en détresse ? Ainsi que vouloir moins penser à ses problèmes en en parlant pas ?


    "Combien de fois avons nous dissimulé nos défauts, et mit l'accent sur nos qualités ? Combien de faux sourires et de faux semblant ?"


    Ca s'appelle la valorisation sociale et l'intégration au groupe social...


    "La raison de porter un (ou même plusieurs) masque est la même pour tous"


    Vous montrez à chaque ligne que vous ne savez en définitive rien du sujet... je vous laisse vous documenter sur les différents types de mensonge tels qu'étudiés par la psychologie sociale.


    "corrélation entre les deux catégories de personnes citées plus haut : La première essaye de plaire à tout le monde, en changeant ou en adaptant son comportement selon les personnes qu'elle côtoie ; la seconde garde le même comportement, tout en sachant pertinemment que cela plaira à la majorité."


    Tout le monde a des comportements variables suivant les individus avec qui il interagit. De plus, personne n'essaye de plaire à tout le monde, parce qu'on est pas attiré par tout le monde, suivant les différentes variables de l'attraction interpersonnelle. Le contexte peut aussi très bien pousser à  adopter un comportement pour plaire à tous les individus d'une situation.


    "Nous somme donc tous superficiel"


    Correction : nous avons tous des comportements "superficiels". Comportement et personnalité sont 2 choses différentes. Le comportement dépend plus de la situation que de la personnalité.


    "les choix de nos actes"


    Hum, le libre-arbitre reste en débat. La psychologie sociale a bien écorné cette position, avec notamment l'illusion de volonté théorisée par Wegner. Henri Laborit a aussi critiqué cette position, en argumentant que c'est la perception de conscience qui nous fait percevoir comme maître de nos comportements.


    "si nous sommes généreux c'est également pour plaire et se plaire par conséquent."


    Une autre théorie implicite de personnalité... et l'empathie ? et la manipulation ?


    "notre culture a fait de nous des individus parfaitement identiques"


    O_O
    parfaitement identiques non, il y a des différences interindividuelles. Et dans les autres cultures, les individus ne sont pas aussi très ressemblant entre eux ?


    "Un bébé lorsqu'il vient au monde, est comme un disque dur vierge qui se remplira au fur et à mesure de son développement par ce qui compose sont environnement sociale et physique, et sa psychologie se déterminera par rapport à cela."


    Mon dieu... ca fait 50 ans que la tabula rasa est abandonnée en psychologie, avec la montée du cognitivisme et de la psychologie évolutionniste. Vous êtes un peu en retard.


    "ces enfants sont dépourvu d'humanité dans le sens comportementale, et n'ont d'humain que leur corps et leur capacité d'apprentissage. En d'autre mots, un enfants élevé par des ours sera psychologiquement un ours ; par des loups, un loup etc..."


    N'importe quoi.
    Le développement comprend un facteur de maturation biologique : les capacités cognitives d'un enfant "sauvage" sont différentes de celles des animaux l'ayant élevé.


    "Par conséquent, les enfants ont encore à bas age la sincérité naturelle propre à l'Homme."


    L'apothéose finale, vous avez bien placé cette dernière phrase.
    Si on se réfère à la cosmologie occidentale (Descola 2005), l'homme est autant un animal de culture que de nature. Les New-Yorkais ne sont pas plus éloignés des chimpanzés que ne le sont les Amazoniens. Nous sommes des animaux essentiellement sociaux. Morin l'a montré dans "Le paradigme perdu : la nature humaine" en parlant de coévolution : la culture est permise par notre patrimoine génétique déterminant nos traits cognitifs, et nos gênes comprennent beaocup de culture, étant donné que la sélection naturelle et sexuelle dans la lignée Homo a opéré dans un contexte culturel qui l'a considérablement influencé. Alors parler de nature pour l'homme, c'est ardu...
    Si vous vous référez  aux hommes "primitifs" ils sont tout autant culturels et sociaux que les civilisés, mentent autant. Voir peut-être davantage dans certains peuples.

    2
    Caca
    Samedi 24 Mai 2014 à 13:17

    Patoche ?

    3
    Azur
    Lundi 26 Mai 2014 à 10:12

    C'est bien pour toi que tu m'aies reconnu, ça va t'aider à rationaliser d'autant plus cette critique.

    4
    Azur
    Lundi 26 Mai 2014 à 14:44

    "Caca" , c'est pour avoir compris que ce texte est merdique ? Évidemment que oui, c'est de l'humour et donc un lapsus ! Dr Freud l'auraît interprêté de manière identique.

    5
    Destructeur d'Anus
    Lundi 26 Mai 2014 à 21:12

    Putain je suis vraiment une merde t'as raison...

    6
    Destructeur d'Anus
    Lundi 26 Mai 2014 à 21:13

    Haha t'y as cru hein ! :D

    Aller soit pas triste, tu me dis quand tu aura fini de te branler, on pourra peut-être discuter comme ça.

    C'est dommage, ta critique aurait pu être intéressante et constructive, mais s'il est vrai que j'ai évolué en deux ans, ça n'a pas l'air d'être ton cas malheureusement. La prochaine fois si tu veux me parler, pas la peine de te cacher en te faisant passer pour quelqu'un d'autre sur un blog délaissé depuis deux ans. Tu peux assumer tes propos, je ne vais pas te manger (quoique...).

    Il est également dommage que malgré tes études de psychologie, tu ne tire absolument aucuns enseignements de cette science, ça aurait surement permit de mettre un peu de profondeur et de sens dans ta critique. Si tu ne souhaite que écraser les gens pour montrer ta pseudo supériorité, je te conseil d’arrêter la psycho et plutôt de faire de la politique. Ça t'irai mieux. Car ta réaction n'a rien d'une personne cherchant la compréhension et la construction, ce que tout passionné de psychologie recherche.

    Je n'ai aucune prétention en se qui concerne la psychologie, je n'y connait pas grand chose. Ça nous fait un point commun. Les autres articles sur la psychopathologie sont du pur copié/coller, et je crois même que tu étais la quand je l'ai fait. En ce qui concerne cet article, il n'a aucune valeur ni prétention scientifique et ne se base sur aucunes recherches. Il est simplement le fruit de mon ressenti de cette époque, avec quelque notion que Isma m'avait expliquées (Ex : Les enfants sauvages). Je l'ai relu et il possède des failles, dommage que tu n'ais pas pu en tirer parti.

     

    - "Le comportement d'un individu en interaction sociale dépend uniquement des individus présents dans la situation, et de ses principes ?"

     

    - "Tout le monde a des comportements variables suivant les individus avec qui il interagit."

     

    Bien, tu réponds toi même à une partie de la question, car je n'ai jamais dit que ça dépendait uniquement de ça. C'est déjà ça de fait. En ce qui concerne les principes, ceux-ci sont construit par rapport à ton vécu. Ils sont donc l'essence même de ton comportement, le "pourquoi" une personne réagit de telle ou telle façon. Donc oui, le comportement d'un individu dépends de sont vécu, et donc de ses principes.

    Je ne t'invite pas à te documenter sur la psychologie sociale, comme tu me l'as proposé (Peut-être parce que tu es incapable de défendre ta position toi-même ?), mais juste de réfléchir par toi même.

    Je vais revenir sur la définition de l'hypocrisie que je donne, car tu n'as pas l'air de la saisir dans l'immensité de ta science. L'hypocrisie c'est une fausse image que tu donnes de toi même, un paraître, un faux semblant. Donc quand tu dis "Je vais bien" quand ce n'est pas le cas, c'est un mensonge, tu donnes une fausse image de toi même, tu parais être bien, tu fais semblant d'aller bien. Que l'individu ait de la culpabilité d'être en détresse à cause des normes sociales ou qu'il ne veuille plus penser à ses problèmes, ça je m'en branle, c'est pas le sujet et ça ne l'exclut pas. Çà n’empêche pas le fait que de mentir est hypocrite. Dans la même lignée, dissimuler tes défauts et mettre l'accents sur tes qualités reste du faux semblant, de l'auto-satisfaction de ce qu'on est sur du vide. Un peu comme toi. Car il est vrai que tu es un champion du faux semblant, tu es un champion pour faire véhiculer des choses que tu ne penses pas (mensonges) et pour cacher tes défauts (Essayer tout du moins...).

    T'aurais-je défini d'hypocrite ? Oups...

    Alors tu peux bien te branler sur ta "valorisation et ton intégration sociale" et tes autres termes compliqués, et te rassurer qu'un menteur n'est pas hypocrite, ce qui t'arrangerait j'imagine. C'est pas quelque mots scientifiques qui vont te donner une quelconque légitimité sur tes propos.

    Tout le monde ne cherche pas à plaire à tout le monde ? Ah. Bizarrement je n'ai jamais vu personne, même en présence d'une personne qu'il déteste, ne pas essayer de véhiculer une image positif d'elle même, en s'en battant totalement les couilles. Sinon c'est à se demander pourquoi des mecs ne sortent pas totalement à poils, où qu'ils n'assument pas leurs défauts par exemple. Quoi ? Ils auraient honte ? Mais pourquoi puisqu'ils ne veulent pas plaire ?

    On veut plaire à tout ce qui nous juge, qu'ils nous attirent ou non.

    Oui bien vu : "Nous avons tous de comportements superficiels" au lieu de "Nous sommes tous superficiel.". Mais en même temps je pense qu'il aurait été difficile de croire que je disais que l'Homme était superficiel par nature, ce qui n'est pas la conclusion de l'article. Appart pour quelqu'un qui veut faire croire qu'il s'y connait plus que les autres ? C'est drôle, tu es le parfait exemple de cette article et tu le démontres très bien. La forme plus que le fond, c'est bien toi.

    En se qui concerne les choix, ce n'est absolument pas un point de l'article et pourtant tu le comment comme si s'en était une composante. T'inquiète, je sais que tu sais plus de choses que moi parce que tu fais de la psycho... Ça se voit. D’ailleurs il t'en reste un peu sur les doigts...

    La générosité désintéressé n'existe pas. Tu as forcement un retour, qu'il soit émotionnel, comportemental ou matériel. Quand tu es généreux, tu te sens bien, soit par EMPATHIE pour cette personne, soit par un autre retour. Si il n'y avait pas de retour, même pas émotionnel, personne ne serait généreux. Donc être généreux est pour soit, se faire du bien, et la conséquence et que ça apporte aux autres.

    On peut dire que c'est la forme d' "égoïsme" la plus belle.

    Après tu me parles de manipulation, je ne vois pas ce que ça à a faire avec la générosité. Si tu es faussement généreux pour manipuler, tu n'es donc pas généreux.

    Mon Dieu, ça fait 50 ans que la "tabula rasa" est abandonnée en psychologie... Et tu te rends compte que ça faisais des siècles que la Terre était plate avant que Galilée pense le contraire ? C'est dingue quand même, il était un peu en retard...

    Je te réinvite à penser par toi même, si cela est encore possible.

    Les capacités cognitives d'un enfant sauvage sont différentes de celles des animaux l'ayant élevé... Dans ce cas ça me rassure d'avoir précisé "dépourvu d'humanité au sens COMPORTEMENTALE".

    Même si les deux sont liés, des capacités cognitive légèrement différente lui permettant de faire des choses que des animaux ne pourront jamais faire, ne l’empêche pas d'avoir le comportement d'un animal. Et si tu en croise un un jour, ça m'étonnerait que tu dises qu'il se comporte comme un être humain. A moins que ce soit ton comportement et celui de ceux que tu côtoies tous les jours ? Ça expliquerait bien des choses...

    L’apothéose finale ! Tu as très mal placé ta dernière critique.

    La culture se trouve dans nos gênes... Franchement je ne te connaîtrais pas, je me dirais que tu te fous de ma gueule. J'attend tes études prouvant l’existence d'un chromosomes déterminant la culture, que je rigole bien. Un pauvres bébé né de parents d'origine française et qui seraient élevé chez des Touareg réclamerait par nature un mode de vie occidentale ? Et le pire c'est qu'il serait en manque de camembert le pauvre...

    Il est dans la nature de l'homme d'avoir une culture. Je sais même pas comment le contraire est imaginable, c'est totalement paradoxale. Mais je reconnais bien la l'innéiste que tu es, partisan d'un classement entre les "races" !

     

    Enfin bref, plus le temps passe et plus tu me dégoûtes. T'as tellement rien dans ta vie et dans tes actes que t'en reviens toujours à parler de gênes pour justifier une quelconque supériorité. Mais t'es supérieur à personne mec, t'arrive même pas à démonter correctement un article minable, écrit par le minable que j'étais il y a deux ans, sur un blog minable. Va te regarder en face !

    Après si tu veux parler de la Nature de l'Homme, qui selon toi n'existe pas, fait le spécialiste qu'est Isma. D'ailleurs, le commentaire de "Caca", venait de lui et non de moi. Tu penses que c'est pour avoir compris que tu es une merde ? Evidemment que oui, ce n'est pas de l'humour mais de la sincérité. Quelque chose dont les personnes comme toi ignore totalement l’existence. Dr. Freud l'aurait interprété de manière identique.

    Tien : http://fr.wikipedia.org/wiki/Sinc%C3%A9rit%C3%A9

     

    Pour le coup, il doit réellement se retourner dans sa tombe que tu prononces son nom et ses recherches dans des propos et des justifications aussi minables.

    La prochaine fois envoie moi les livres qui te font dire toutes tes conneries puisque tu n'es pas foutu de sortir leur simple pensée à laquelle tu prétends adhérer. J'en tirerai quelque chose d’intéressant avec des vrais arguments, et sans doute moins de merde. Ils savent de quoi ils parlent eux ! 

    7
    Destructeur d'Anus
    Mardi 27 Mai 2014 à 00:32

    Oups j'ai fait un lapsus avec "Destructeur d'Anus" ... Je te laisse le choix de l’interprétation.

    8
    Vendredi 30 Mai 2014 à 05:46

     

    Je vois que tu gardes l'habitude de m'écraser, m'insulter et me mépriser, ce qui a au passage bien diminué ma confiance et mon estime il y a 2 ans, avec aussi la contribution d'Ismaël. Donc si je me mets comme toi à traduire des comportements isolés en trait de personnalité, je pourrais te définir de connard narcissique. Ce que je ne fais pas car je ne le pense pas, ayant acquis une conception différente en psychologie sur ce point.

     

    Mais bon, vu que tu as l'air d'être partisan du libre-arbitre (oui, j'avais lu sur ton profil FB "la liberté est un choix" ou encore ta sélection de la citation de Tecumseh (le vrai, pas Ismaël bien entendu)) tu penses dans ce cas que je mérite qu'on me méprise. Enfin, si tu tiens toujours cette position, que je vais qualifier de merdique et ridicule parce que je m'adresse à toi, si 'était quelqu'un qui ne m'adressait pas de tels propos je parlerai de manière humble et respectueuse. Ce que tu n'appliques pas toujours visiblement, je développe ça plus loin dans ma réponse.

     

     

    "Putain je suis vraiment une merde t'as raison... "

     

     

    Mon dernier message était sarcastique. Ca fait déjà un an que je rejette la psychanalyse =D . Pas vous tous apparemment... Si je reprends votre définition de l'intelligence datant de 2 ans comme "capacité à comprendre la vérité" , vu qu'en l'état actuel des connaissances mis à part quelques hypothèses validées, le reste de ces théories étant soit réfuté soit irréfutable et donc non-scientifique, alors vous êtes loin de l'Intelligence (avec un grand I ! ) selon votre (peut-être ex-) définition... mais encore une fois je suppose une évolution.

     

    Mais si je considère ta vision apparente de la psychologie et de l'ethnologie, alors pour moi oui, ta pensée est partiellement merdique. Histoire de l'assainir un peu, je te recommande le Livre Noir de la psychanalyse.

     

     

    "C'est dommage, ta critique aurait pu être intéressante et constructive"

     

     

    Ah il me semblait que l'intérêt d'une chose dépend partiellement de la perception de l'observateur, et non pas seulement d'un caractéristique intrinsèque... heureusement que tu m'enseignes le contraire.

     

     

    "mais s'il est vrai que j'ai évolué en deux ans, ça n'a pas l'air d'être ton cas malheureusement. "

     

    Effectivement "n'a pas l'air" . Par contre toi non plus tu ne me sembles pas avoir évolué dans un bon sens. Au contraire j'ai l'impression que tu t'enfonces de plus en plus dans ton délire psychanalytique et sur La Nature De l'Homme.

     

     

    "La prochaine fois si tu veux me parler, pas la peine de te cacher en te faisant passer pour quelqu'un d'autre sur un blog délaissé depuis deux ans. Tu peux assumer tes propos, je ne vais pas te manger (quoique...)."

     

     

    En fait c'est pour la plaisir de la vengeance.... même si c'est un texte passé ça me fait grand plaisir. Si tu ne m'avais pas reconnu, tu aurais perçu mon texte autrement par non-activation du stéréotype "Patoche". Mais c'est vrai, mentir c'est forcément mal.

     

     

    "Il est également dommage que malgré tes études de psychologie, tu ne tire absolument aucuns enseignements de cette science, "

     

     

    Belle impression, affirmée comme une fait réel en plus...

     

     

    "Si tu ne souhaite que écraser les gens pour montrer ta pseudo supériorité"

     

     

    Encore une fois, c'est un comportement de vengeance, renforcé par ma colère et mon indignation devant un tel tas de conneries, et tes insultes envers moi. Personnellement, j'ai déjà vu plein de gens adopter un ton énervé, Ismaël par exemple, face à des propos aberrants d'un interlocuteur.

     

    Et que sais-tu de mon évolution, notamment mon estime, depuis 2 ans, à part ce texte dont le fond est déformé par la forme agressive, pour en déduire une tendance narcissique et prétentieuse ? Pas grand-chose, à moins que tu aies un détective privé d'une incompétence totale. Tu ne sais rien non plus comme tu l'admets des causes multiples du comportement agressif... Tu fais aussi une belle confirmation d'hypothèses : Patoche est un narcissique, hors ses propos dénotent du mépris, ce qui confirme d'autant plus ma théorie implicite sur Patoche !

     

     

    D'autant plus que tu ne prends pas un élément essentiel en compte dans l'analyse de mes comportements pour m'attribuer un narcissisme : mes carences relationnelles, de moins en moins fortes, ma mauvaise intégration des normes, du "savoir-vivre", du respect d'autrui, à cause de mon milieu familial. Je ne me rends que maintenant grâce à cet "échange" qu'une partie des comportements que j'attribuais à un narcissisme, étaient en fait plutôt causés par ces carences...

     

     

    "Car ta réaction n'a rien d'une personne cherchant la compréhension et la construction, ce que tout passionné de psychologie recherche."

     

     

    MDR comme si un trait interne (passionné de psycho) entraînait formellement et systématiquement une même réaction de respect et d'ouverture envers la pensée d'autrui... Tu me fais pitié.

     

    Tu fais bien de dire que tu connais pas grand chose à la psycho, parce que tu le confirmes. Si j'ai bien compris, tu penses que tout "passionné de psycho" (ou autre domaine de connaissances) cherche à comprendre et construire, rechercher la Vérité... or vois-tu je ne connais personne, y compris vous, qui n'ait pas tendance à avoir et montrer la meilleure image de soi à soi et autrui, à conserver ses croyances (besoin de cohérence/consistance) , etc... bref des dizaines de biais mis en évidence et constituant un filtre cognitif global, dont voici une liste non-exhaustive : biais de mémoire, rationalisation, confirmation d'hypothèses, capacités cognitives limitées de traitement de l'information, immunisation cognitive, biais d'exposition sélective, réalisme naïf, recherche de cohérence évaluative, corrélations illusoires, manie de l'ordre, phénomène de surconfiance, erreur d'attribution causale, valeurs, idéologies, cultures, croyances, better than average, etc...

     

    Je prédis avec une certaine probabilité que tu vas penser, dire à tes copains et m'écrire (si tu me réponds) que cette liste est la preuve de mon narcissisme. Vas-y lâche-toi, je sais que t'en baves d'envie de le répéter le plus de fois possible.

     

     

    Et tous ces biais nous amènent à vouloir conserver nos idéologies, croyances, dans ce cas précis je connais de nombreux partisans de la psychanalyse, étudiants et profs confondus, qui n'admettent pas les critiquent qui pèsent sur cette ... chose qu'est la psycha. C'est valable pour tout le monde, pour tous les domaines, etc... personne n'est objectif, personne ne pense librement, personne n'ets ouvert d'esprit, et tout le monde dit de la merde. Du moins pour ma conception personnelle de l'objectivité, l'ouverture d'esprit, et la "réflexion par soi-même" dont tu te revendiques. Y compris moi bien sûr, j'en fais partie. On peut prendre conscience de ces phénomènes, mais cela ne nous en émancipe pas, comme pour lr reste de nos fonctionnements psychologiques.

     

    Je peux aussi citer l'exemple de certains individus qui ont commencé à idéaliser les sociétés primitives à un moment de leur vie, et ont ensuite cherché le plus possible de confirmations de cette vision politique, en en négligeant les réfutations ... Ah mince alors, c'est toi et tes "frères" ! Allez je vous fais cadeau de vous faire connaître le socio-anthropologue Testart, qui a notamment livré une classification des sociétés, démontant la vision dichotomique primitifs/civilisés et Tribus primitives/états civilisés, et au passage aussi la vision du "bon sauvage" . Mais Marshall Sahlins dit le contraire, alors vous avez raison contre tous les autres ethnologues... mais au fait se baser sur les travaux d'autrui, c'est pas vraiment réfléchir par soi-même non ?

     

    Tu peux rationaliser ce que tu viens de lire en te disant que j'ai adopté une vision différente des sociétés primitives qu'auparavant, pour me sentir mieux de ne jamais vivre mon idéal de vie, comme tu le crois... sauf que tu ne sais rien de mes projets depuis un an... tu trouveras les détails plus bas.

     

     

    "Je n'ai aucune prétention en se qui concerne la psychologie, je n'y connait pas grand chose."

     

    Tu prétends que ta vision de l'hypocrisie, et donc ta conception sous-jacente de la personnalité, est juste. Tout comme tu prétends que la générosité est forcément intéressée, qu'un bébé nouveau-né n'a pas de comportement humain, etc...

     

     

    "Les autres articles sur la psychopathologie sont du pur copié/coller, et je crois même que tu étais la quand je l'ai fait. "

     

    Quoi qu'il en soit, la qualité de cet article tranche avec celle de ceux sur la pathologie.

     

     

    "En ce qui concerne cet article, il n'a aucune valeur ni prétention scientifique et ne se basen sur aucunes recherches."

     

     

    Que tu lui attribues ou non une valeur scientifique, il reste un article de ton blog, que tu estimais à l'époque être juste (et toujours aujourd'hui pour une grande partie) et donc tu voulais convaincre le plus de gens possible de ta vision. Et ce texte ne possède pas que des failles, il est déjà à moitié effondré.

     

     

    - "Le comportement d'un individu en interaction sociale dépend uniquement des individus présents dans la situation, et de ses principes ?"

     

     

    - "Tout le monde a des comportements variables suivant les individus avec qui il interagit."

     

     

    Bien, tu réponds toi même à une partie de la question, car je n'ai jamais dit que ça dépendait uniquement de ça. "

     

     

    Bien vu, en relisant je me rends compte aussi que j'ai oublié de préciser "suivant les individus et les autres éléments contextuels"

     

     

    "En ce qui concerne les principes, ceux-ci sont construit par rapport à ton vécu. Ils sont donc l'essence même de ton comportement, le "pourquoi" une personne réagit de telle ou telle façon. Donc oui, le comportement d'un individu dépends de sont vécu, et donc de ses principes."

     

     

    L'essence du comportement... quelle belle formulation...J'ai l'impression de lire la psychanalyse, de la spiritualité ou de l'astrologie... en qualité ça les équivaut presque...

     

    Déjà, en science on ne se demande pas pourquoi mais comment, car bien qu'en ce qui concerne l'homme, ses comportements soient déterminés en partie par de la planification, des intentions, des stratégies visant à atteindre des buts, ce sont ces facteurs qui entres autres engendrent le comportement ; et pas la finalité elle-même qui guide le comportement. Tu fais de la belle téléologie.

     

    Je ne vois pas non plus pourquoi ce serait ces principes, dnc des variables internes, qui représenteraient davantage l"essence" du comportement, alors que l'environnement y participe aussi, peut-être plus. C'est pourtant ce que tu affirmes.

     

    Je conçois ce dont tu parles différemment de toi. Pour moi, nos croyances sur soi, autrui et notre environnement, nos comportements envers autrui et notre environnement, et cet environnement dans lequel nous interagissons, sont en interaction constante (sache que si tu remarques une ressemblance de cette phrase avec la théorie sociale-cognitive de Bandura, je l'avais développée avant de la retrouver de manière quasi-exacte en lisant cet auteur... serais-je réellement aussi stupide que vous le croyez et prétendez ? Je m'attends à ce que tu prétendes que je ments et m'approprie pour moi ses travaux) . Pour moi, la personnalité n'existe pas, en tout cas je ne la conçois pas de la manière que le fait le gentilhomme, la psycha et le cognitivisme. Je me base aussi sur les travaux de Beauvois pour cette réflexion, qui a commencé l'année dernière et qui est alimentée de plus en plus par mes cours, lectures et discussions.

     

    Et nos croyances déterminent avec l'influence du milieu, le comportement. Par exemple la confiance en soi, et aussi ce que tu appelles des principes. Par exemple si j'avais plus de certitude sur ma théorie, je parierais fort que les traits de personnalité, càd nos croyances sur nous-même, dans notre manière de réagir comportementalement et affectivement , déterminent nos comportements, non pas parce que ces traits nous caractérisent en eux-même, mais pour nous sentir cohérent avec nos croyances sur nous. Je n'invente pas le besoin de cohérence, simplement je l'applique à une réflexion générale sur la personnalité.

     

    Je prends aussi en compte les renforcements externes, mais ma réflexion à ce sujet s'arrête là pour le moment.

     

    Et dans ton cas précis, tu crois ne pas mentir parce que la nature intrinsèque de ton esprit est profondément sincère, alors que selon moi c'est dù :

     

    • l'intériorisation totale de cette valeur de sincérité qui est à la base une norme sociale préservant la cohésions du groupe, face aux conflits internes découlant de la transgression des règles de vie et des lois, et donc facilitant la fin de ces conflits en poussant le coupable d'une faute à avouer.

    • ta croyance d'être sincère, ton besoin de cohérence te pousse encore à ne pas mentir.

    • Les renforcements de ton groupe fraternel dans lequel mentir est sévèrement réprimandé.

    • La différenciation vis-à-vis d'une grande partie de la population de notre société que tu juges hypocrite et que tu détestes, donc recherche de valorisation de toi-même.

    • Et d'autres facteurs que je connais pas.

     

     

    Serais-je en train d'affirmer que tu n'es pas sincère ? Oups... Contrairement à toi je différencie bien comportement et personnalité.

     

     

    "(Peut-être parce que tu es incapable de défendre ta position toi-même ?)",

     

     

    C'est bien que tu me dises ça, ca me rappelle que vous ne savez pas prendre en compte le confiance en nos capacités dans la détermination des comportements, par exemple pour les performances intellectuelles qu'elle détermine en très grande partie.

     

    Pour info, au moment de l'écriture de mon premier commentaire, j'étais en période de révisions, donc pas le temps de tout rédiger. De plus, à partir de maintenant, mes priorités sont les suivantes : la fin de ma psycho"thérapie", bien qu'ayant définitivement compris en décembre que je ne sui spas schizoïde ni une quelconque pathologie mais des problèmes plus "élémentaires" ; la préparation de mon projet de vie sauvage au Yukon, grâce notamment à l'aide d'un mec vivant déjà ainsi dans cette région, rencontré par Vert et Noir ; l'apprentissage des savoirs et savoirs-faire nécessaires ; ma préparation physique pour un stage fin juin et pour mon projet en général ; ma préparation pour un bénévolat sur un archéosite le reste de l'été ; la recherche d'une compagne ; la rédaction d'un livre et sa préparation par lectures et discussions ; la rédaction d'un dossier centré sur la psycho en collaboration avec une association ; et d'autres choses ne me venant pas.

     

    Sachant que je n'ai aucun espoir de te convaincre, tellement tu es depuis longtemps enfoncé dans tes dogmes. De plus depuis un mois je n'éprouve plus la moindre envie de vivre avec vous, après avoir mesuré la distance qui nous sépare dans nos conceptions théoriques, et aussi pour tout le mépris que vous avez eu envers moi et qui m'a beaucoup marqué pendant bien un an et demi, avant que mon estime ne devienne enfin positive grâce à mes accomplissements intellectuels successifs depuis le début de ma première année de licence et la reconnaissance de mes amis et professeurs. Là c'est juste un comportement de vengeance. Vous ne représentez plus rien du tout dans ma vie actuelle et mes projets, juste une période de mon passé. Tant pis si vous persistez à me considérez comme un connard égoïste narcissique menteur raciste, la reconnaissance des autres personnes compense très largement cet avis. Mais tu vas encore me dire que vous me connaissez mieux que n'importe qui...

     

     

    "mais juste de réfléchir par toi même."

     

     

    La réflexion par soi-même... chaque phrase prouve que ta pensée en est encore à un stade complètement ridicule...

     

    Alors tu penses qu'on peut réfléchir par soi-même. Tu dois donc croire réfléchir par toi-même. Le fait même que tu produises autant de TIP, qu'elle soit une des bases de ta conception de la psychologie et ta philosophie de vie en général, prouve que tu es encore loin de la vérité... euh la Vérité, avec un grand V ! Car les TIP sont la manifestation par excellence de l'idéologie libérale-démocrate. Ta conception de la personnalité n'est pas toute personnelle, mais une disposition culturelle, héritée de ton environnement social global. Cadeau, l'explication entière se trouve dans le Traité de servitude libérale de JL Beauvois.

     

    Te définirais-je de libéral ? Oups... Tu participes de la reproduction de certaines structures sociales essentielles de la civilisation industrielle libérale, par ces mécanismes socio-cognitifs : à savoir précisément cette servitude libérale, causée par la croyance que ce mode vie représente pour chaque individu sa propre nature, sa propre personnalité, et par rationalisation suite aux déclarations de libertés, entraîne la croyance d'être libre ! Tu en es toujours pollué, en localisant beaucoup trop l'origine des comportements dans les causes internes des individus, au détriment des causes externes. C'est la norme d'internalité sociale, produisant l'erreur d'attribution interne. Tout est expliqué et défini clairement dans le livre en question, dont voilà un résumé : http://www.cnam.fr/servlet/com.univ.collaboratif.utils.LectureFichiergw?ID_FICHIER=1295877017853

     

     

     

    D'autre part, toujours sur cette fameuse "réflexion personnelle" , or le soi de chacun est constitué d'expériences, formant plus largement des croyances sur soi, des idéologies, des valeurs, des connaissances acquises, par exemple par autrui par interaction directe en discutant recevant un enseignement ou indirectement par le biais de lectures, de transmission indirecte ou . Cela forme un filtre, un prisme au travers duquel on perçoit et analyse les informations nous parvenant. J'ai déjà évoqué nos biais plus haut.
    Ah mais bien sûr, vous avez compris La Nature De L'Homme, vous n'avez aucune fausse croyance, que des connaissances objectives, vous vous êtes libérés de cette prison mentale qu'est le système de pensée civilisé. Vous n'avez aucune idéologie, vous détenez simplement la Vérité !

     

     

    Enfin bref, tes propos sont complètement ridicules et aberrants.

     

     

    "Je vais revenir sur la définition de l'hypocrisie que je donne, car tu n'as pas l'air de la saisir dans l'immensité de ta science. L'hypocrisie c'est une fausse image que tu donnes de toi même, un paraître, un faux semblant. Donc quand tu dis "Je vais bien" quand ce n'est pas le cas, c'est un mensonge, tu donnes une fausse image de toi même, tu parais être bien, tu fais semblant d'aller bien. Que l'individu ait de la culpabilité d'être en détresse à cause des normes sociales ou qu'il ne veuille plus penser à ses problèmes, ça je m'en branle, c'est pas le sujet et ça ne l'exclut pas. Çà n’empêche pas le fait que de mentir est hypocrite. Dans la même lignée, dissimuler tes défauts et mettre l'accents sur tes qualités reste du faux semblant, de l'auto-satisfaction de ce qu'on est sur du vide. "

     

     

    Pour le moment je pense être à peu près d'accord avec toi à ce sujet, ca nous fait au moins un point commun...

     

     

    "Alors tu peux bien te branler sur ta "valorisation et ton intégration sociale" et tes autres termes compliqués"

     

     

    L'apogée de ton texte. Tu m'as bien fait rire en lisant ça.

     

    Sérieusement mec, c'est ironique ce que tu me dis là hein ? C'est une blague, tu ne parles pas sérieusement ? Parce que je ne peux pas croire que tu puisses considérer ces 2 mots "valorisation" et "intégration" comme compliqués ? Allez je t'aide : valorisation, c'est proche de valeur, valoir, valoriser, etc... je t'oriente vers la signification extrêmement complexe de ce mot, dont les mots proches ne font absolument pas partie d'ailleurs de notre vocabulaire quotidien. Pareil pour intégration, ouhlalla quels mots très complexes... si tu n'y es toujours pas arrivé seul après plusieurs jours pour déchiffrer cette énigme, prends un dico pour pas que ton cerveau explose. Et à mon avis même après plusieurs années, je sais pas si tu arriveras alors si tu veux je pourrai t'aider à mourir si tu te sens trop désespéré devant cet échec.

     

     

    Non je déconne, je pense que tu comprends très bien ces mots, tu rationalises simplement pour me décribiliser en appuyant ton accusation de narcissisme. Bel argument de forme.

     

     

    "Tout le monde ne cherche pas à plaire à tout le monde ? Ah. Bizarrement je n'ai jamais vu personne, même en présence d'une personne qu'il déteste, ne pas essayer de véhiculer une image positif d'elle même, en s'en battant totalement les couilles. Sinon c'est à se demander pourquoi des mecs ne sortent pas totalement à poils, où qu'ils n'assument pas leurs défauts par exemple. Quoi ? Ils auraient honte ? Mais pourquoi puisqu'ils ne veulent pas plaire ? On veut plaire à tout ce qui nous juge, qu'ils nous attirent ou non."

     

     

    Je ne suis pas d'accord, car j'ai bien l'impression qu'on ne veut pas plaire à tous, par exemple aux gens qui ne nous plaisent pas, avec qui on s'est embrouillés, qui nous ont insulté, ou encore à des gens qui veulent nous séduire pour une relation amoureuse mais qui ne nous intéressent pas, e,vers qui on adopte alors des comportements visant à montrer notre antipathie et notre désintérêt pour eux.

     

     

    "Oui bien vu : "Nous avons tous de comportements superficiels" au lieu de "Nous sommes tous superficiel.". Mais en même temps je pense qu'il aurait été difficile de croire que je disais que l'Homme était superficiel par nature, ce qui n'est pas la conclusion de l'article."

     

     

    Tu n'as pas compris mon propos. Encore une fois je critiquais ton emploi à tout va et à tort des TIP.

     

     

    Appart pour quelqu'un qui veut faire croire qu'il s'y connait plus que les autres ?

     

     

    La valorisation de soi, à soi et à autrui existe chez tout individu, notamment faire croire qu'on a des connaissances et davantage qu'autrui, nous en prévaloir. Pour moi la modestie n'est pas un trait de la "Nature Humaine" mais une autre TIP, l'intériorisation de la norme de respect d'autrui, consistant à réhausser l'image d'autrui pour s'attirer sa sympathie, le gratifier pour se gratifier par empathie et se rabaisser devant autrui pour le gratifier d'autant plus, nous gratifier par là même et nous attirer sa sympathie ; cette gratification étant un renforcement posotif pour cet autrui qui va encore davantage nous appércier

     

     

    ""En se qui concerne les choix, ce n'est absolument pas un point de l'article et pourtant tu le comment comme si s'en était une composante. "

     

     

    "Cette superficialité physique s'accompagne donc forcement d'une superficialité psychique, aussi bien dans les choix de nos actes que dans la facons de nous exprimer ""

     

     

    Je comprends pas ce que tu me dis. Cette phrase fait bien partie de ton texte non ? Elle le compose alors non ? Encore un bel argument de forme. Je n'ai pas à ce que je sache fixé comme objectif ce critiquer seulement les points essentiels de ton article, donc mon comportement n'est pas incohérent.

     

     

    La générosité désintéressé n'existe pas. Tu as forcement un retour, qu'il soit émotionnel, comportemental ou matériel. Quand tu es généreux, tu te sens bien, soit par EMPATHIE pour cette personne, soit par un autre retour. Si il n'y avait pas de retour, même pas émotionnel, personne ne serait généreux. Donc être généreux est pour soit, se faire du bien, et la conséquence et que ça apporte aux autres.

     

    On peut dire que c'est la forme d' "égoïsme" la plus belle.

     

     

    Dans le cadre de tes connaissances actuelles, le savoir évolue beaucoup tu sais, comme chaque individu. Jusqu'à ces derniers mois je pensais de la même manière, plus maintenant après avoir eu des cours de psychologie évolutionniste et de sociobiologie, sur le concept d'inclusive fitness. Et là j'ai autre chose à foutre que vous l'expliquer en détail...

     

    Ensuite tu persistes avec tes TIP : "es généreux" "serait généreux" "être généreux" . Alors que par exemple aider qqun c'est un COMPORTEMENT, pas une PERSONNALITE . Il faut dire "avoir un comportement généreux".

     

     

    Après tu me parles de manipulation, je ne vois pas ce que ça à a faire avec la générosité.

     

     

    Je parle de manipulation venant de la personne cherchant de l'aide, pas celle qui la donne.

     

     

    Si tu es faussement généreux pour manipuler, tu n'es donc pas généreux.

     

     

    Un comportement altruiste reste un comportement altruiste, quels que soient ses déterminants. Tu me dis toi même que l'altruisme est systématiquement intéressé, se comporter altruistement pour manipuler et donc acquérir encore plus de bénéfices personnels reste un comportement altruiste dans ta conception.

     

     

    Mon Dieu, ça fait 50 ans que la "tabula rasa" est abandonnée en psychologie... Et tu te rends compte que ça faisais des siècles que la Terre était plate avant que Galilée pense le contraire ? C'est dingue quand même, il était un peu en retard...

     

    Je ne parle pas de la psychologie en tant qu'argument d'autorité, mais en tant que point de référence par rapport à l'évolution des connaissances. Si tu penses encore qu'un bébé juste né est comparable à un disque dur vierge, alors tu es comparable à ceux qui pensaient que la Terre est plate, alors que Galilée était déjà mort et qui n'en étaient pas convaincus...

     

     

    "Les capacités cognitives d'un enfant sauvage sont différentes de celles des animaux l'ayant élevé... Dans ce cas ça me rassure d'avoir précisé "dépourvu d'humanité au sens COMPORTEMENTALE".

     

    Même si les deux sont liés, des capacités cognitive légèrement différente lui permettant de faire des choses que des animaux ne pourront jamais faire, ne l’empêche pas d'avoir le comportement d'un animal. Et si tu en croise un un jour, ça m'étonnerait que tu dises qu'il se comporte comme un être humain. A moins que ce soit ton comportement et celui de ceux que tu côtoies tous les jours ? Ça expliquerait bien des choses..."

     

     

    Tiens, tu ne différencies pas animaux et animaux humains... serait-ce la manifestation d'un spécisme inconscient ? Je te taquine bien sûr, je ne considère pas que tu crois supérieur sles hommes aux autres animaux.

     

    Cependant le contenu reste ridicule, tu n'as pas conscience ou tu ne tiens pas compte de l'existence de comportements innées proprement humains : rire, sourire, pleurs de bébé, et d'autres qui ne me reviennent plus. Et si tu te renseignais un peu sur la psychologie des bébés et la psychologie évolutionniste , avant de raconter des conneries ?

     

    Donc les bébés sont pourvus d'humanité au sens comportemental. De plus, si on considère la définition de certains comportementalistes modernes de la psychologie, ils incluent dans les comportements non seulement la motricité, mais aussi les affects et les cognitions, l'ensemble étant les réactions de l'interaction entre système nerveux et environnement. Alors suivant cette définition les bébés ont encore plus de comportements humains, ayant des affects, un système cognitif et de très nombreux réflexes moteurs innés. Personnellement ce n'est pas ma définition du comportement, mais il est difficile de la réfuter complètement, pour ne pas dire impossible. C'est une vision possible.

     

     

    La culture se trouve dans nos gênes... Franchement je ne te connaîtrais pas, je me dirais que tu te fous de ma gueule. J'attend tes études prouvant l’existence d'un chromosomes déterminant la culture, que je rigole bien. Un pauvres bébé né de parents d'origine française et qui seraient élevé chez des Touareg réclamerait par nature un mode de vie occidentale ? Et le pire c'est qu'il serait en manque de camembert le pauvre...

     

    Il est dans la nature de l'homme d'avoir une culture. Je sais même pas comment le contraire est imaginable, c'est totalement paradoxale. Mais je reconnais bien la l'innéiste que tu es, partisan d'un classement entre les "races" !

     

     

    Je n'ai pas exprimé ma pensée fidèlement et exhaustivement à ce sujet, et tu l'as en plus interprété à ta sauce pour confirmer ta vision raciste de moi. La voilà un peu mieux exprimée : premièrement plusieurs définitions de la culture existent. Le débat nature-culture est très vivace et multicolore en opinions. On peut même affirmer que la nature et la culture ne sont que 2 catgéories perceptuelles au leu d'être des entités réelles, en raison de leurs relations très fortes.
    Ensuite, je voulais signifier que nos gênes participent de la culture indirectement par l'intermédiaire du système nerveux, en interaction avec la socioculture de l'organisme et son environnement physique.
    Étant donné que durant la phylogénèse de la lignée humaine, ce qu'on appelle cultre est apparu progressivement et non brusquelent à la seconde de la naissance d'Homo sapiens, notre évolution biologique s'ets déroulée dans un contexte culturel, et social, nos ancêtres du genre Homo ayant vécu en groupes. ON appelle ça coévolution biologique et culturelle.

     

    Si je prend sles travaux de Descola sur les différentes cosmologies humaines, à savoir le rapport entre l'homme et le reste du règne du vivant, alors la nôtre est toute relative. Tiens la pensée d'Ismaël est influencée par une cosmologie, civilisée occidentale en plus... mais alors peut-être qu'il ne pense pas par lui-même...

     

    Je suis complètement d'accord sur le fait que tout homme a une culture, si on considère que les "enfants sauvages" ne sont pas des hommes. On a pas la même définition de la nature, bien que je ne sois pas certain de la mienne, parce que je considère l'opposition nature/culture comme presque équivalente à celle entre gênes et environnement, inné et acquis. Et non pas à définir la nature comme étant tout ce qui n'est pas civilisé... Tiens comme par hasard ça correspond à votre vision politique que vous appelez Vérité, la Nature étant ce qui doit être, ce qui est légitime, ce qui est bon, etc...

     

    Et par rapport au racisme dont vous m'accusez, vous n'avez toujours pas pris en compte que je n'avais fait que survoler très rapidement le site web en question, sans regarder dans le détail, donc mon traitement de l'information avait été fait de manière superficielle, sans considération de toutes les données contenues dans ce site. Tout le monde peut se faire avoir... mais bon de toute façon je m'en bats presque totalement les couilles de ces accusation étant donné que votre opinion de moi-même n'est pas le centre de ma vie.

     

     

    Après si tu veux parler de la Nature de l'Homme, qui selon toi n'existe pas, fait le spécialiste qu'est Isma.

     

     

    Ouhlala je m'incline devant sa majesté impériale le spécialiste suprême... d'ailleurs tu as oublié la majuscule à spécialiste, ce qui devrait donner "Le Spécialiste de La Nature de L'Homme". Et puis aussi à "la" devant Nature et "l'" devant Homme.

     

    Encore votre tendance à mettre des majuscules aux mots représentant des concepts phares de votre pensée ... Bonheur, Vérité, Liberté, Amour, Intelligence, Nature... comme si votre définition de ces concepts était l'unique correcte. SI c'est pas du narcissisme et de l'irrespect envers les opinions contraires à la vôtre, je ne sais pas ce que c'est.

     

     

    D'ailleurs, le commentaire de "Caca", venait de lui et non de moi.

     

     

    Je m'en doutais à moitié, je me rappelle encore de cette habitude qui est la sienne. Mais mon commentaire peut très bien aussi s'appliquer au tien, vu qu'il était probablement globalement d'accord avec toi et aujourd'hui aussi...

     

     

    Tu penses que c'est pour avoir compris que tu es une merde ? Evidemment que oui, e n'est pas de l'humour mais de la sincérité. Quelque chose dont les personnes comme toi ignore totalement l’existence. Dr. Freud l'aurait interprété de manière identique.

     

     

    HAHAHA je me foutais de ta gueule dans ce commentaire ! je pense que tu l'a assimilé maintenant après avoir lu plus haut mon opinion de la psychanalyse...

     

     

    Pour le coup, il doit réellement se retourner dans sa tombe que tu prononces son nom et ses recherches dans des propos et des justifications aussi minables.

     

     

    Bah ouais, c'était tellement un mec bien. Falsifier ses études de cas qui se sont tous révélés êtres des échecs retentissants pour rendre crédible sa théorie et promouvoir sa thérapie quasiment complètement inefficace, c'est un comportement très moral.

     

     

    Allez, Adieu définitif. De très bon coeur pour moi, et avec l'immense satisfaction de l'impression de t'avoir massacré verbalement dans les règles.

     

    9
    Vendredi 30 Mai 2014 à 05:55

    Pour te réconforter, je t'enverrai un exemplaire de mon livre dédicacé et emballé dans un joli papier cadeau, pour ton anniversaire ou pour Noël comme tu veux.

    10
    Anus détruit
    Vendredi 30 Mai 2014 à 08:00

    Bon après relecture et remémoration de mes prpos, il me reste des éléments à dire... notamment que te définir comme sincère t'arrange tout autant que moi quand je fais comme tu le penses certainement un tour de passe passe théorique pour en venir au fait de ne pas me définir comme hypocrite... tu ne cherches pas moins que moi ou n'importe qui à accéder à une image positive de toi. Ce qui explique bien ta vision de la personnalité, vu qu'elle t'arrange.

    Ah mais non, toi tu pense spar toi-même, tu n'es pas soumis à ce genre de biais...

    11
    Ismaël
    Vendredi 30 Mai 2014 à 17:12

    Bonjour Patrice,
    Heureux d'apprendre que tu vas vers du mieux et que tu ficelles tes projets de vie.
    Malheureux de voir que tu as beaucoup, trop même, de stéréotypes et de caricatures ancrés sur ma pensée et celle de Chadi qui diffère par moment mais dont la majorité s'inspire de nos discussions.

    Je vais te répondre puisque tu me prends à parti en me négligeant et en insultant ma pensée alors que c'est une conversation que tu nourrissais avec Chadi sur "l'hypocrisie" sujet qui a vite dérivé sur des interprétations qui n'ont rien à voir avec l'origine.

    Premièrement tu es arrivé avec une forme très agressive, avec une argumentation très pauvre puisque tu ne cites que des sources. Et comme tu le sais un argumentaire est bien plus qu'une source. Il est composé notamment d'une idée, illustré de son exemple/expérience et accompagné d'une source pour appuyer son propos plus fortement, bien que cette dernière ne soit pas obligatoire lorsqu'on est sur un débat de fond.
    Tu ne fais malheureusement que cité des sources pour discréditer des propos basé sur une pensée sincère et développé issu de ces expériences et ressentis personnels.
    Même si ton excuse est celle de dire que tu n'avais pas le temps d'alimenter ta réponse à cause de tes révisions : d'une le lecteur n'est pas censé le savoir, tu ne donnes même pas ton identité (donc impossible de contextualiser ta forme agressive et incomplète) et de deux ce texte existe depuis prêt de deux ans et demi, donc je pense que deux ou trois mois de plus pour répondre correctement ça n'aurait pas été de trop.
    Ton autre excuse est de dire que tu te venges d'où la forme bâclé à laquelle tu t'adonnes, étrange vengeance que tu nous fais là, car elle n'a que peu d'effet et je ne pense pas que ce soit ton intention.
    Tu remarqueras donc que tu es le provocateur de sa réponse même si il avait le luxe de ne pas s'abaisser à ton agressivité et à ton esprit de vengeance.

    Suites à la forme et au peu de fonds qu'inspiré ta réponse, nous en avons déduit rapidement que tu n'étais pas un inconnu. Donc ce n'est pas qui tu es qui t'as défini à nos yeux mais ce que tu faisais et disais qui t'a défini à nos yeux. Tu es visiblement le comportement qu'on imagine, puisqu'on a deviné qui tu étais.


    Parlons de ton départ et surtout de ton arrivée à Emerainville avec nous, pour démêler tout malentendu. Nous t'avons accueilli sans la moindre volonté te concernant. Nous n'avons jamais demandé de participation financière à la vie commune et nous n'avons donc rien à tirer de toi si ce n'est le plaisir de partager notre vie ensemble. Sauf que la seule chose que nous te demandions en échange de vivre avec nous, c'était de partager ta vie. Tu n'as malheureusement pas partagé ta vie. Tu as menti à répétition (des mensonges sérieux et graves), tu te servais de ce que tu savais comme tes propos dans ce blog pour écraser ton interlocuteur avec ce que tu prétendais savoir à tort ou à raison et tu t'excluais seul du groupe en restant isolé dans la parole et parfois les actes. 
    La réaction naturelle de tout individu normalement constitué face à ça c'est l'exclusion renforcé et la brimade. Choses dont tu n'as jamais été victime avec moi personnellement mais seulement avec Chadi, Martin et Soja. 
    Malgré tout c'est la peur de l'affrontement (oral) avec moi qui t'as fait fuir. Et pourtant je te défendais et souhaitais que tu restes quoi qu'il en coûte pour te voir avec nous.
    Ces comportements anti-social que tu avais avec nous, tu les avais avant nous. 
    Alors je te trouve très illégitime à nous ou en tout cas à me reprocher de t'avoir insulter et blesser quand je n'ai été pour toi que bienveillance, quand tu n'as été que pour moi indifférence.


     


    Ceci étant dit il faut que je te parle de ta prétention bien mal gardé et assez nauséabonde je dois dire quand on voit ce que tu en fais. Avoir et rechercher de la fierté c'est normal mais faut il qu'elle soit construite sur de solide base et tu n'as pas pris les sciences les plus simples pour obtenir ce résultat (anthropologie, sociologie, politologie, psychologie, biologie, etc...).
    On ne fait pas n'importe quoi avec son estime de soi, on l'a construit proprement. Tes contradicteurs ont du souci à se faire pour leurs oreilles plus que pour les idées qu'ils défendent. Et toi tu as du souci à te faire pour ton esprit qui aura bien du mal à s'ouvrir.
    Parlons donc de cette notion qui à toujours l'air autant de t'obséder qu'est :"l'intelligence".
    Si tu te souviens bien tu m'avais posé la question à moi (pas à Chadi et Martin) sur la définition d'intelligence. Je t'avais répondu que la définition générale de l'intelligence tous notions confondus c'est la capacité d'un individu ou d'une espèce à s'adapter. Je t'avais également défini la notion dans un contexte particulier c'est à dire pour nous qu'est ce qu'on pouvait appeler intelligence et je t'avais répondu que l'intelligence c'est ta capacité et ton envie à chercher la Vérité et surtout à l'accepter ce qui revient quasiment à dire à la comprendre !
    Je maintiens cette idée et je pourrais la démontrer avec aisance. Mais ce que je veux te faire remarquer c'est que cette notion est propre à ton obsession personnel et à tes aspirations. 
    Quand on est à la recherche de l'intelligence on ne peut pas être intelligent, c'est la recherche de l'objet qui le permet. L'objet c'est la Vérité. Que tu l'atteignes ou pas "tu es intelligent".
    Si tu cherches à être intelligent tu ne pourras qu'en avoir la forme, mais tu n'en auras jamais la profondeur ni même la satisfaction et le but réel ne sera jamais atteint.
    Ressembler à quelqu'un d'intelligent n'a jamais permis de l'être, elle a même l'effet inverse.

    Que tu soit ou non narcissique ou schizoïde n'est pas important dans l'histoire puisque ce sont des termes qui permettent juste de mettre des noms à des tendances, à des comportements généraux. Ce qui est important ce sont ces tendances et ces comportements généraux. En parler pour dire que c'est un problème de caser les gens dans une boîte c'est un moyen de détourner l'attention du vrai problème. Certes cloisonné quelqu'un derrière un syndrome ou une maladie n'a jamais aidé à résoudre cette maladie, mais elle peut aider à en trouver les réponses et les traitements. A ce jour la psychologie clinique d'après ce que j'en sais aide à vivre avec sa maladie, elle ne soigne rien. Une maladie affective est bien différente d'un symptôme (apparenté à un comportement).
    Je pense que tu as de lourds problèmes affectifs avec un comportement général qui quand tu étais avec nous s'apparenté à du rejet social et à de l'introversion extrême par le mensonge, le dénis ou l'absence de réaction comportementale. Aujourd'hui tu parles à Chadi en citant des sources sans y mettre de la raison/logique. Quand tu y met des explications elles sont complexes, elles abordent des notions (exemple : "valorisation" social, affective, individuel, professionnel, culturel etc... ? ou "intention" mauvaise/bonne , comportementale/affective etc... ?), qui ne sont pas évidente comme tu pourrais l'imaginer de ton seul point de vue, et elles sont bien souvent incomplètes ce qui empêche une compréhension saine de ton interlocuteur. Il y a également des énumérations de savoir ou de lectures qui ne donnent qu'une impression c'est qu'il n'aborde rien de fondamentale mais il souhaité dégager une impression. La seule impression que ça dégage d'un point de vue d'une personne qui essaye de comprendre c'est soit "je suis con de pas comprendre puisqu'il pense que je peux comprendre" ou "le mec se la pète avec ces mots savants et ses sources savantes". Pour une personne qui comprends ce sera simplement :"le mec se la pète avec ces mots savants et ses sources savantes" en rajoutant "dans le fond c'est de la branlette intellectuelle".


    A partir de là je n'ai pas de réponse ou de contradiction à te formuler par rapport aux affirmations grossières et autoritaires que tu as dans tes propos sur la Nature Humaine ou sur la Psychanalyse car tu as l'air suffisamment "intelligent" pour t'en passer.
    Sachant que nos différences idéologiques sont trop grande pour que l'on se comprenne d'après toi ce qui pour moi apparaît être quelques choses de très dogmatique comme vision. Mais je te laisse te complaire de cette conclusion qui ne me déplaît pas.


    Sur ceux je te souhaite bonne continuation dans tes projets, en espérant que ton livre soit accessible aux plus grands nombres et remplis de consistances.

    12
    Ismaël
    Vendredi 30 Mai 2014 à 17:15

    L'éloge de la fuite comme tu dirais ;)

    13
    Dimanche 1er Juin 2014 à 13:00

    Qu'il n'y ai pas de mal entendu entre nous, tu m'as méprisé bien avant que je te méprise. Jamais tu n'as été "humble et respectueux" avec moi depuis que je t'ai rencontré. Quand on s'est connu, je ne t'avais adressé aucuns propos déplacé, tu ne me parlais déjà pas de manière humble et respectueuse, ni à moi, ni aux autres. Quand on vivait ensemble non plus, et quand tu parlais à d'autre gens sur des forum non plus. Et tu reviens deux ans plus tard, et tu ne l'ais toujours pas. Tu pourra me dire que c'était ton comportement d'il y a deux ans, que tu as changé, et je te rappellerai que tu m'en veux pour des faits qui date également d'il y a deux ans.

    Il y a un moment il faut arrêter de se mettre des œillères et se regarder dans la glace. Mon mépris tu l'as provoqué par ton comportement, pas seulement par ton antipathie et ton mépris quotidien, non. Mais surtout pour tes mensonges honteux sur ta pseudo tentative de suicide : Je me suis prit de compassion pour toi car ayant vécu cette situation, et j'ai défendu l'indéfendable devant Martin, Ismaël et Soja qui avaient directement perçut le mensonge. Tu m'as fait ressentir un sentiment sur de la merde pour ton propre compte et je t'ai fait confiance. Alors peut-être que j'ai été trop excessif dans notre dernière échange par mail, c'est même sur que mon mépris été exagéré, mais regarde sa source avant de voir une quelconque injustice ou une incompréhension.

     

    Je vois que depuis tu restes totalement obnubilé par "nous". Le mépris dont j'ai fait preuve te marque encore deux ans après, tu voulais tout de même vivre avec "nous" pendant un an et demi, tu vas sur mon facebook pour voir mes citations, tu reprends des passages que j'ai pu dire dans mes derniers mails, tu envoies des mails à Ismaël en te faisant passer pour quelqu'un d'autre, tu viens critiquer un article dont j'avais oublié l’existence soit disant par vengeance, tu te renseignes sur nos projets... Bizarre pour quelqu'un qui prétend ne pas aimer ce que "nous" sommes et qui prend le temps de pensée à sa "vengeance" et d'écrire une critique à des personnes à qui il ne parle plus depuis deux ans malgré tous ses nombreux projets qui sont sensé le combler.

    Tu as pu remarquer les "nous" entre guillemets, tout simplement parce que jusqu'à présent c'est à moi que tu parles, c'est mon article, mes réponses, mes pensées. Donc je ne vois pas ce que viens faire le "vous" dans la réponse de quelqu'un qui est sensé apprendre à ne pas faire de généralisation.

    Je te rappel juste une chose, quand tu es venu la seule chose que Ismaël à voulu faire c'est t'aider, sans jamais te demander une quelconque contrepartie : il t'a proposé de vivre avec nous à une période de ta vie où tu n'avais rien, tu n'avais pas d'amis, en froid avec ta famille, tu ne parlais pas et tu n'avais aucuns véritable but à part "vivre dans la forêt parce que tu n'aimes pas la civilisation". Ce que tu es aujourd'hui est en parti inspiré grâce à lui : la psycho, la réalisation de tes rêves, même ta manière de débattre et tes playlistes ! Donc je te trouve extrêmement ingrat vis-à-vis de lui, mais tu n'es pas à un aveuglement prêt.

     

    J'ai eu beaucoup de mal à lire pour te dire vrai, d'une part car tu as établit ta pensée de manière brouillon et non organisée, je ne comprend pas toujours là ou tu veux en venir et une idée peut revenir à plusieurs endroit différent du texte ; d'autre part car tu utilises un jargon qui complexifie cette pensée. Si je t'ai dit que les concepts "valorisation sociale" et "intégration sociale" sont compliqués, c'est non pas parce que je ne les comprend pas, mais parce que cela complexifie le propos au lieu de le simplifier et d'aller droit au but. Ce qui rend la lecture désagréable, et ouvre la porte au quiproquo, mal entendu et interprétation. Ce n'est donc pas la meilleur façon de se faire comprend. Mais il est vrai que cela n'est pas ton but, de te faire comprendre, mais simplement de te "venger". Malheureusement je crains que ton plan machiavélique est voué à l'échec, car tes intervention m'apportent malgré toi, et que ce n'est pas parce que tu va me remettre en question sur des choses que je vais mal le vivre. Les choses ne sont mal que si tu les voient comme telles, je ne suis pas du genre à m'enfuir du jour au lendemain...

    Ta forme ne déforme absolument pas ton fond je te rassure, puisque tu es là pour te "venger" et donc pour envoyer ton mépris. Ton fond est aussi bâclé et méprisant que ta forme, pour la simple raison que tu ne cherche pas la "raison" mais à "avoir raison". Dans la même logique que celle d'Ismaël, ce n'est pas en voulant avoir raison que tu sera raisonné. Malgré tes "carences" que tu me sites, tu ne te dis même pas : "J'ai tel comportement qui me font faire de la merde à certains moment, est-ce que c'est le cas là ?".

     

    Tu me reproches de "traduire des comportements isolés en traits de personnalités". Mais le truc c'est que ce ne sont pas des comportements isolés. Si je t'ai reconnu bien que tu as dissimulé ton identité, c'est bien que ta critique transpire ce que tu es et qu'elle témoigne parfaitement de ton comportement. Si ce n'est pas le cas, comment t'aurais-je reconnu ?

    Tu me dis que si je ne t'avais pas reconnu, j'aurais "perçu [ton] texte autrement par non activation du stéréotype "Patoche" ". Mais les faits sont là : Je t'ai reconnu grâce à ce fameux texte, donc ce fameux stéréotype n'en est pas un au final.

     

    Je crois que tu te rompes sur mes propos et que tu fais de belles interprétations, ton texte en est remplit. Pourtant je m'atèle à essayer d'être clair, peut-être ne le suis-je pas assez mais... Il me semble que quand je ne prononce pas le mot "narcissique", c'est que je n'en parle pas. La seule personne qui en parle c'est toi, et tu es même la seule personne à l'avoir pensé : "une partie des comportements que j'attribuais à un narcissisme". Alors merci de ne pas projeter sur moi tes névroses et tes propres accusations.

    Donc non, je ne pense pas que tu es narcissique. Cela dit, ta manière d'étaler tes connaissances et ton vocabulaire spécialisé, au risque de mettre en péril la compréhension de tes écrits (car je ne pense pas que tu parles comme ça à l'orale), et de parler de certains concepts de manière tellement évidente et absolu que tu ne le développe pas ; pour moi c'est le comportement de quelqu'un qui est la juste là pour épater la galerie, "l'auto-satisfaction de ce qu'il est sur du vide" comme je te disais. Je trouve également étrange que tu fasses une telle fixette sur des choses qui n'ont même pas été évoquées, comme le narcissisme et ton estime de toi. Mais ce n'est que mon avis.

    Par contre, en se qui concerne la prétention, ça je le pense oui, étant donné que tu ne fais que me dire que tu es ci ou ça (ou plutôt te défendre que tu n'es pas ci ou ça), sans le moindre développement. Des sources ne suffisent pas à justifier une pensée. Pour moi tu "prétends" donc savoir et être ce que tu ne sais pas et n'es pas (ou du moins ça ne se voit pas).

     

    La phrase correct sur mon facebook est "La liberté est une question de choix.".

    Puisque tu insistes tant à justifier que tu n'as pas le choix d'être ce que tu es et de faire ce que tu fais, car pour moi ce n'est qu'une piètre défense pour ne pas t'accabler, au point de soulever un détail qui n'a aucune raison d'être, allons-y.

    En ce qui concerne le libre-arbitre, je pense que du point de vu objectif, où nous comprendrions tous les enchaînements d’événements qui nous ont amenées à des situation précises et où nous comprendrions le moindre détails de notre vécu ; dans cette vision je pense que nous n'avons pas de libre-arbitre et que tout est déterminé. Je pense que chaque choses que nous faisons, chaque comportements et pensées, n'est que la résultante de tous les événements, plus petits soit-ils, de notre vécu. Du point de vu objectif, qu'on pourrait qualifier d' "omniscient".

    Mais du point de vu subjectif, c'est à dire le notre, je pense que nous l'avons. Je pense que notre incapacité à percevoir et comprendre tous ces facteurs nous donne au moins l'illusion du choix, une illusion assez grande pour que dans mon petit monde avec mon petit corps je puisse penser que j'ai le choix. Après ce n'est qu'une différence de perception, l'une nous l'avons, l'autre non. Et dans ma subjectivité je peux affirmer que je prend une décision quand je choisi de mettre de la sauce Algérienne dans mon grec plutôt que de la Samourai, ou de boire un Fanta plutôt qu'un Coca. Ça je peux l'affirmer dans le concret car je le vis, je le perçois, je le comprend. Je ne suis pas assez "grand" pour comprendre et percevoir en dehors de ma subjectivité humaine, donc ce point de vu objectif est totalement abstrait et non apparent dans ma vie.

    Donc oui, je pense que la liberté est un question de choix.

    Si je résonnais comme tu le fais sur le libre-arbitre, dans ce cas tu n'as pas à m'en vouloir pour mon mépris : je n'avais pas le choix. Or c'est impossible subjectivement, car bien des facteurs t'échappe pour pouvoir affirmer une telle chose. Si tu étais convaincu toi même de ce que tu me dis, tu n'en voudrais à personne et tu ne ferais que comprendre les autres en comprenant ce qui les à amener à faire ci ou ça.

    La seule raison qui pourrait te pousser à penser que tu n'as pas le choix, c'est de t'excuser toi-même de tes comportements, même les plus "mauvais" (Je le met entre guillemet au cas où tu compte aborder le "bien" et le "mal" de la même manière que tu as aborder le libre-arbitre, c'est à dire prit à la volé dans une phrase dont ce n'était pas le développement), en se disant "De toute façon je n'avais pas le choix. Et si je le refais c'est que je n'avais pas le choix non plus. Donc je ne peux rien y faire, tant pis.". C'est dangereux car ça t’empêche d'avoir une pensée critique envers toi même en t’entraînant dans le fatalisme. Ce qui me laisse penser que c'est ton cas quand je lis : "On peut prendre conscience de ces phénomènes, mais cela ne nous en émancipe pas, comme pour le reste de nos fonctionnements psychologiques."

     

    Tu considère ma vision apparente de la psychologie et de l'ethnologie comme merdique. Très bien qu'elle est-elle ? Tu ne peux pas répondre ? Étrange. Tu ne connais absolument pas, et je ne vois pas comment, ma vision de la psychologie. Et encore moins de l'ethnologie puisque je n'en parle pas, et que je ne sais même pas moi même qu'elle est-elle. Mais c'est sûrement dû aux fameuses TIP dont tu me parles. TIP qui te font dire pas mal de grossièreté qui plus est, mais tu le verra par la suite.

     

    "Belle impression affirmé comme un fait réel", je te retourne le compliment :

    01. "tu penses dans ce cas que je mérite qu'on me méprise."

    02. "Par contre toi non plus tu ne me sembles pas avoir évolué dans un bon sens" (D’ailleurs c'est drôle, je viens de remarquer le "non plus"... Ce serait ton cas ?)

    03. "Si tu ne m'avais pas reconnu, tu aurais perçu mon texte autrement par non activation du stéréotype "Patoche" "

    04. "Tu fais aussi une belle confirmation d'hypothèses : Patoche est un narcissique, hors ses propos dénotent du mépris, ce qui confirme d'autant plus ma théorie implicite sur Patoche !"

    05. "pour m'attribuer un narcissisme" 

    06. "je sais que t'en baves d'envie de le répéter le plus de fois possible." (Faut-il commencer par le dire une fois...)

    07. "personne n'est objectif, personne ne pense librement, personne n'ets ouvert d'esprit, et tout le monde dit de la merde."

    08. "tu voulais convaincre le plus de gens possible de ta vision"

    09. "ce texte ne possède pas que des failles, il est déjà à moitié effondré."

    10. "Tu fais de la belle téléologie"

    11. "Je ne vois pas non plus pourquoi ce serait ces principes, dnc des variables internes, qui représenteraient davantage l"essence" du comportement, alors que l'environnement y participe aussi, peut-être plus. C'est pourtant ce que tu affirmes."

    12. "serais-je réellement aussi stupide que vous le croyez et prétendez ? Je m'attends à ce que tu prétendes que je ments et m'approprie pour moi ses travaux"

    13. "tu crois ne pas mentir parce que la nature intrinsèque de ton esprit est profondément sincère"

    14. "ta croyance d'être sincère, ton besoin de cohérence te pousse encore à ne pas mentir."

    15. "Les renforcements de ton groupe fraternel dans lequel mentir est sévèrement réprimandé."

    16. "La différenciation vis-à-vis d'une grande partie de la population de notre société que tu juges hypocrite et que tu détestes, donc recherche de valorisation de toi-même."

    17. "Contrairement à toi je différencie bien comportement et personnalité."

    18. "et aussi ce que tu appelles des principes"

    19. "ca me rappelle que vous ne savez pas prendre en compte le confiance en nos capacités dans la détermination des comportements"

    20. "Sachant que je n'ai aucun espoir de te convaincre, tellement tu es depuis longtemps enfoncé dans tes dogmes."

    21. "Mais tu vas encore me dire que vous me connaissez mieux que n'importe qui..."

    22. "Tu en es toujours pollué, en localisant beaucoup trop l'origine des comportements dans les causes internes des individus, au détriment des causes externes."

    23. "Ah mais bien sûr, vous avez compris La Nature De L'Homme, vous n'avez aucune fausse croyance, que des connaissances objectives, vous vous êtes libérés de cette prison mentale qu'est le système de pensée civilisé. Vous n'avez aucune idéologie, vous détenez simplement la Vérité !"

    24. "tu rationalises simplement pour me décribiliser en appuyant ton accusation de narcissisme."

    25. "tu n'as pas conscience ou tu ne tiens pas compte de l'existence de comportements innées proprement humains"

    26. "Tiens comme par hasard ça correspond à votre vision politique que vous appelez Vérité, la Nature étant ce qui doit être, ce qui est légitime, ce qui est bon, etc..."

    27. "comme si votre définition de ces concepts était l'unique correcte . SI c'est pas du narcissisme et de l'irrespect envers les opinions contraires à la vôtre, je ne sais pas ce que c'est."

    28. "avec l'immense satisfaction de l'impression de t'avoir massacré verbalement"

     

    Ah oui et j'oubliais :

    29. "Belle impression, affirmée comme une fait réel en plus..."

     

    J'en ai sûrement oublié d'autre mais je te dirais juste une chose à ce propos :

    "Le fait même que tu produises autant de TIP, qu'elle soit une des bases de ta conception de la psychologie et ta philosophie de vie en général, prouve que tu es encore loin de la vérité "

     

    Pour conclure, je dirai que c'est une drôle de vengeance que celle de celui qui raconte sa vie et ses projets, se défend d'une attaque qui n'existe pas (narcissisme), et attaque sur quelque chose qui ne me touche pas.

    Je pense que malgré tes dire, tu as toujours un problème avec ton estime que tu évoques également sans le moindre propos de ma part.

    La seule impression que dégage ton texte c'est que tu veux te défendre de ce que tu es car ce ne serait pas ta faute si tu es comme ça : innéisme, pas de personnalité, pas de libre-arbitre, pas de pensée par soit même, pas de "pourquoi", ect. Si tu veux penser que tu n'as aucuns pouvoir sur ta vie et te satisfaire de faire de la merde, c'est TON CHOIX. Ça te permet de jeter la faute sur l’extérieur...

    Ton texte est bourré de contradictions, d'interprétations autoritaire et écrit de manière à montrer ta science (ou du moins ton vocabulaire : Tout comme les livres, connaître un concept ne veux pas dire le comprendre). Ce qui me laisse un gros doutes sur toutes les études dont tu tires tes connaissances et sur ta manière de les interpréter.

    Cela dit, j'attends toujours que tu "effondres" mon texte, et que tu me "massacre verbalement". Ce qui me fait me demander pourquoi quelqu'un qui pense avoir raison quitterai un débat où il serait soit disant dominant ? Elogedelafuite.

     

    A bon entendeur.

    14
    Jeudi 12 Juin 2014 à 08:26

    OK, j'ai moins d'affects antipathiques à votre égard en lisant ces 2 messages. Je ne réponds que maintenant, juste après l'avoir lu, car je n'ai pu me résoudre à le faire avant. Ma confiance en ma capacité à exprimer mes idées et convaincre autrui n'est significative que depuis 2 semaines, par mes autres relations personnelles ; elle était très mauvaise auparavant, suite à plusieurs échanges de mails ou verbaux avec un certain nombre de personnes, où soit j'avais tort soit je n'arrivais pas à m'exprimer comme je le souhaitais idéalement. Du coup, j'éprouve un stress fort avant de lire la réponse dans un échange tendu.

    J'ai énormément de choses à vous répondre, en accord ou en désaccord (surtout). Je préfère prendre mon temps à relire plusieurs fois vos messages et progressivement ma réponse, pour répondre de la "meilleure" manière possible. Ca va me prendre au moins plusieurs jours.

    Je répond néanmoins à ça : "Alors je te trouve très illégitime à nous ou en tout cas à me reprocher de t'avoir insulter et blesser quand je n'ai été pour toi que bienveillance"

    Je te rappelle ça, dans un mail avant mon départ : "Tu ne sais pas ce qu'est l'intelligence, la Liberté, le Bonheur, la Vérité, l'Amour ! Tu es l'animal le plus stupide du règne du monde vivant !"

    A bon entendeur...

    15
    Vendredi 13 Juin 2014 à 19:53

    Je complète ma petite liste de tes actes "bienveillants" envers moi : suite à avoir cru que j'étais raciste, tu m'as écrit "tu es encore plus stupide que je le pensais" . Ce que je peux comprendre vu ce qui l'a provoqué, néanmoins tu l'as fait.

    Pas la peine de me dire que mon comportement n'est pas cohérent parce que j'avais annoncé "adieu définitif".
    Bon, j'ai l'impression d'avoir fait le tour du sujet, je ne sais pas si je serai encore assez motivé pour vous répondre étant donné que je prévois mal que je vous convainque. C'est la première fois que j'ai le ferme impression de vous dominer majoritairement dans un débat, il y a un an jamais je n'aurais imaginé ça, surtout de ma part. C'est même la première fois que je vous sens en sévère position de faiblesse, tout interlocuteur confondu.

    Merci déjà de ne pas m'avoir encore appelé Patoche ou t'être surnommé Caca... ça a particpé de mon ton agressif dans mon 2e commentaire. D'ailleurs, mes affects antipathiques sont revenus en lisant le pseudo de Chadi que tu (Chadi) as repris pour ton dernier message, et aussi en relisant vos réponses et écrivant la mienne...

    "Premièrement tu es arrivé avec une forme très agressive"
    Oui. Ca se comprend vu à quel point je trouve ce texte aberrant d'une part, et mon ressentiment d'autre part.

    De manière générale, je trouve mon premier commentaire effectivement incompréhensible, ridicule face à mes réelles capacités d'argumentation dans un contexte favorable. Enfin, c'est le cas de tout le monde quand on relit d'anciens écrits personnels. C'est un problème dans mon expression que j'ai relevé récemment, et que je fais en sorte d'améliorer.

    "Tu remarqueras donc que tu es le provocateur de sa réponse"
    Je l'avais bien compris, merci...

    "Sauf que la seule chose que nous te demandions en échange de vivre avec nous, c'était de partager ta vie. Tu n'as malheureusement pas partagé ta vie. "
    Je dois deviner seul les raisons que tu donnes pour expliquer mon non-partage ? Voilà selon moi les facteurs de ce comportement : ma faible confiance en mes capacités sociales, qui inhibe ces capacités (par prophétie autoréalisée, je pense que tu connais ce phénomène alors je ne vais pas prendre le risque de t'offenser en le définissant), entraîne un blocage des pensées et donc moins de paroles en discussion réelle ; une très forte infériorité ressentie sur le plan des capacités relationnelles par rapport à vous, d'où une inhibition encore plus forte ; par rapport à mon vécu personnel (solitude et fugue, ma vie se résumant presque à ça avant mon arrivée), je préférai éviter le sujet ou mentir par peur du jugement et du rejet (malgré le fait que je n'imaginais pas que vous le feriez, j'avais subi des moqueries quotidiennes pendant 3 ans), par évitement de ces souvenirs et par manque d'habitude d'en parler. Avant de vous rencontrer, les seules personnes connaissant les motifs réels de ma fugue et de ma dépression au lycée étaient les flics qui m'avaient ramené, et un médecin... c'est resté difficile d'en parler avec mes premiers psychologues, maintenant je pourrais presque le crier sur tous les toits, ayant pris l'habitude.

    "Tu as menti à répétition (des mensonges sérieux et graves)"
    "tu te servais de ce que tu savais comme tes propos dans ce blog pour écraser ton interlocuteur avec ce que tu prétendais savoir à tort ou à raison"

    Oui, et je le regrette beaucoup.


    "Malgré tout c'est la peur de l'affrontement (oral) avec moi qui t'as fait fuir."
    Pas seulement, je déprimais depuis plusieurs jours, par un manque quasi total de perspective de "guérir", je prévoyais de partir du groupe pour me lancer dans un projet solitaire de permaculture.

    "Et pourtant je te défendais et souhaitais que tu restes quoi qu'il en coûte pour te voir avec nous."
    Je le savais, et ça m'émeut beaucoup.


    "Ces comportements anti-social que tu avais avec nous, tu les avais avant nous."
    Je suis aussi d'accord.

    "Avoir et rechercher de la fierté c'est normal mais faut il qu'elle soit construite sur de solide base et tu n'as pas pris les sciences les plus simples pour obtenir ce résultat (anthropologie, sociologie, politologie, psychologie, biologie, etc...)."
    Cette fierté m'est venue sans que je la cherche, du moins consciemment, et sans que je m'y attende, non consciemment aussi. Je parle de l'inconscient cognitif, pas freudien.

    "On ne fait pas n'importe quoi avec son estime de soi, on l'a construit proprement. [...] Tes contradicteurs ont du souci à se faire pour leurs oreilles plus que pour les idées qu'ils défendent."
    En parlant de caricature et de stéréotype, tu ne fais pas mieux que moi.

    "Et toi tu as du souci à te faire pour ton esprit qui aura bien du mal à s'ouvrir."
    En parlant de ça, j'aimerais que tu me donnes ta vision de l'ouverture d'esprit, j'attends que tu réfutes mes arguments déjà exposés.

    "Je t'avais répondu que la définition générale de l'intelligence tous notions confondus c'est la capacité d'un individu ou d'une espèce à s'adapter."
    Tu parles de n'importe quelle espèce animale ?

    "Je t'avais également défini la notion dans un contexte particulier c'est à dire pour nous qu'est ce qu'on pouvait appeler intelligence et je t'avais répondu que l'intelligence c'est ta capacité et ton envie à chercher la Vérité et surtout à l'accepter ce qui revient quasiment à dire à la comprendre !"
    Pour moi ce n'est pas ça, mais chacun définit comme il veut les mots, qui ne sont que des conventions arbitraires. Quant au contenu lui-même, j'ai déjà exposé ma vision à ce sujet sur la "réflexion par soi-même" .

    Si je prends ta définition et que je la combine avec ma vision du raisonnement humain, alors personne n'est intelligent. Voilà mon raisonnement :
    Je pense aussi que tout homme a la capacité de comprendre la Vérité. Je précise bien la capacité, et pas le comportement. En effet, tout homme est pour moi capable de comprendre des énoncés théoriques, en arrivant à se les représenter de manière concrète. Seulement, la capacité n'est pas la seule variable déterminant la performance : il y a des aspects motivationnels,  l'acquisition préalable de connaissances nécessaires à la compréhension de connaissances plus complexes, les arguments présentés soutenant l'idée en question, le contexte du débat/cours/discussion/présentation (car oui, si un individu est distrait, l'intégration de l'idée en quetsion se produira de manière différente que s'il est pleinement attentif).
    De plus, un autre facteur très important joue : les biais de raisonnement. Par exemple la rationalisation : adhérer à une idée parce qu'elle nous conforte par rapport à nos comportements et nos cognitions préalables, par exemple il sera difficile pour un libéral-capitaliste d'adhérer à l'anarchisme, surtout s'il est assez vieux, qu'il a milité pour l'UMP, etc... je pense que tu connais la théorie de l'engagement et de la dissonance cognitive.
    Autre exemple : la confirmation d'hypothèses, çàd être davantage attentif et mémoriser mieux les arguments confirmant notre vision préalable et/ou celle qui nous convient le mieux. Le même capitaliste va beaucoup mieux écouter et intégrer des arguments pro-capitalistes qu'anti- .
    Autre : le biais d'hypothèse sélective, çàd s'exposer sélectivement aux informations confirmant notre vision ou une vision que l'on préfère. Par exemple, le même capitaliste va plutôt regarder TF1 que lire de la documentation anarchiste.
    Donc, "accepter" la Vérité n'est pas une question de capacité proprement dite, puisque tout le monde a la capacité cognitive de compréhension théorique or 99% des individus est extrêmement loin de cette Vérité, et puisque d'autres facteurs jouent et empêchent à tout individu d'accepter toute la Vérité !
    Peut-être un jour tu "t'ouvriras" et comprendra ça ;-) .

    "Je maintiens cette idée et je pourrais la démontrer avec aisance."
    La démontrer ? Ce serait donc une vérité absolue ? Et après c'est moi qui me la pête ? Je veux bien lire ta "démonstration", malgré mon a-priori très fort, sachant que j'ai déjà appuyé le contraire et aucun de vous n'a encore argumenté. Serait-ce de la fuite ?

    "Mais ce que je veux te faire remarquer c'est que cette notion est propre à ton obsession personnel et à tes aspirations."
    Ca yest , j'en parle deux fois dans mon commentaire, j'écris un article su rmon blog à ce sujet, et donc c'est un sujet qui m'obsède. Pas mal comme raisonnement.
    Etrangement, toi tu sembles avoir beaucoup réfléchi sur la question, et tu avais sbeaucoup insisté dans notre dernier échange de mails pour connaître ma définition de l'intelligence et du QI... donc si je suis ta logique apparente, tu en es obsédé...

    "Quand on est à la recherche de l'intelligence on ne peut pas être intelligent, c'est la recherche de l'objet qui le permet. L'objet c'est la Vérité. Que tu l'atteignes ou pas "tu es intelligent".
    Si tu cherches à être intelligent tu ne pourras qu'en avoir la forme, mais tu n'en auras jamais la profondeur ni même la satisfaction et le but réel ne sera jamais atteint.
    Ressembler à quelqu'un d'intelligent n'a jamais permis de l'être, elle a même l'effet inverse."
    Si j'ai bien compris, tous les humains ne sont pas intelligents selon toi ?

    "Que tu soit ou non narcissique ou schizoïde n'est pas important dans l'histoire puisque ce sont des termes qui permettent juste de mettre des noms à des tendances, à des comportements généraux. Ce qui est important ce sont ces tendances et ces comportements généraux. En parler pour dire que c'est un problème de caser les gens dans une boîte c'est un moyen de détourner l'attention du vrai problème. Certes cloisonné quelqu'un derrière un syndrome ou une maladie n'a jamais aidé à résoudre cette maladie, mais elle peut aider à en trouver les réponses et les traitements."
    Je le savais aussi, j'ai mal exprimé mon idée.

    "Je pense que tu as de lourds problèmes affectifs avec un comportement général qui quand tu étais avec nous s'apparenté à du rejet social et à de l'introversion extrême par le mensonge, le dénis ou l'absence de réaction comportementale. "
    Tu fais bien de préciser "je pense". Parce que tu ne m'as jamais observé dans des contextes autres qu'Emeu et à d'autres époques de ma vie, depuis mon comportement a bien changé. ;-)
    En fait quand j'affirme ne pas être schizoïde et ne jamais l'avoir été, c'est que mes tendances cognitives, affectives et comportementales ne sont pas la manifestation d'une pathologie, d'une névrose, etc... mais la conséquence de fortes carences relationnelles (éducation familiale, comme tu le sais déjà) et d'un énorme manque de confiance, que jéi déjà développé plus haut. Il est très peu probable que j'ai guéri d'une schizoïdie passée, étant donné que selon les sources d'informations personne n'en guérit (je précise bien selon ces sources). Je reconnais m'être quasiment totalement reconnu dans les symptômes schizoïdes, mais comme tu dois le savoir un ensemble de mêmes symptômes peut avoir plusieurs causes. Les manifestations de ces symptômes dépendant de la situation dans la quelle se trouve l'individu. Déjà les premiers psychologues et psychiatres que j'avais vus avait émis de sérieux doutes sur ce diagnostic, des amis et psychopathologues me disaient la même chose depuis mon entrée à la fac, maintenant plus personne n'y croit.
    Quant à l'absence de réaction comportementale, il faut bien prendre en compte l'effet de l'humeur, à Emeu celle-ci était plutôt neutre donc inhibe la structure psychologique entière. (enfin, mon humeur est quasi constamment neutre depuis le collège, mais depuis bientôt 2 ans ç augmente doucement).
    Au passage je trouve très étrange que tu n'aies jamais parlé (et donc peut-être jamais pensé à) de l'hypothèse du manque de confiance/autoefficacité, c'est une des théories les plus connues en psychologie, pourtant...

    "A partir de là je n'ai pas de réponse ou de contradiction à te formuler par rapport aux affirmations grossières et autoritaires que tu as dans tes propos sur la Nature Humaine ou sur la Psychanalyse car tu as l'air suffisamment "intelligent" pour t'en passer."
    Sur la psycha : j'ai déjà donné 2 brèves explications, et une source complète sur le sujet, à mon avis que tu ne liras pas pour ne pas remettre en question ton opinion datant de plusieurs années ;-)). Si tu veux une argumentation complète, lis les 800 pages du Livre Noir ou sa version Poche, je ne les recopierai pas. Sinon, comment dire... comme tout le monde j'ai envie de cracher sur des praticiens, théoriciens et partisans qui promouvoient une thérapie quasi complètement inefficace et une théorie pseudoscientifique ;  des voleurs de millions de personnes dans le monde depuis 100 ans, à cause du putain de prix de ces séances inutiles dans une "thérapie" qui va durer plusieurs années en moyenne, voir plusieurs décennies. Enfin, tu peux toujours me répondre sur ces critiques, j'ai hâte que tu me prouves le contraire.
    Tu veux des arguments concrets ? en voilà parmi des dizaines possibles : - un exemple de postulat psychanalytique réfuté : la catharsis, selon laquelle décrire un évènement ayant suscité une forte émotion annulerait l'émotion ressentie au moment du souvenir. Voilà 2 expés à ce sujet : Zech et ,2005, et Zech, 2000. Je peux aussi te citer le complexe d'oedipe, réfuté la psy évolutionniste (Daly et Wilson, 1990) ; ou la formation du surmoi, par Fischer et Greenberg, 1977.
    - un exemple de postulat difficilement réfutable : la pulsion de mort ; l'origine sexuelle des maladies.
    https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=1&ved=0CCIQFjAA&url=http%3A%2F%2Fwww.inserm.fr%2Fcontent%2Fdownload%2F7356%2F56523%2Fversion%2F1%2Ffile%2Fpsychotherapie%255B1%255D.pdf&ei=yq2ZU47ECueK0AWAg4DABQ&usg=AFQjCNFY4eJ7zOWKKhB_rT52K2WbYwicAg&bvm=bv.68911936,d.d2k
    On se demande pourquoi la Société lacanienne a demandé la censure de ce rapport auprès du ministère et l'a obtenu. Sans doute parce que ça prouvait superbement l'extraordinaire efficacité de la psycha, et ils n'aiment pas du tout être considérés comme les meilleurs dans ce domaine ces analystes.
    Je trouve très contradictoire que tu te revendiques autant de la science, alors la psychanalyse est unanimement reconnue, y compris par les psychanalystes eux-même, comme non-scientifiques... Ta position sur ce domaine suggérerait alors que tu n'es pas ouvert d'esprit après tout... mais je te rassure, personne ne l'est. Tiens je t'offre un bon moyen de rationaliser en pensant que mon opinion est biaisée : j''étudie à la fac de Grenoble, réputée pour sa critique de la psychanalyse et son approche très expérimentale.
    Jusqu'à ce que les psychanalystes sortent des arguments solides, la psychanalyse est considérée comme une aberration quasi-totale... donc en l'état actuel des connaissances ce n'est pas la Vérité... or tu y adhères... donc tu n'acceptes pas la Vérité... je te laisse deviner la suite de ce raisonnement basé sur ta définition de l'intelligence. Pas la mienne, je considère chaque être humain comme extrêmement intelligent, quasiment à égalité avec chaque autre.

    Tu peux aussi te dire que tu es plus intelligent que moi (selon ta définition) donc forcément tu recherches et acceptes beaucoup mieux la Vérité, donc tu as raison...

    "Sachant que nos différences idéologiques sont trop grande pour que l'on se comprenne d'après toi ce qui pour moi apparaît être quelques choses de très dogmatique comme vision. Mais je te laisse te complaire de cette conclusion qui ne me déplaît pas."
    J'aurais du écrire "c'est peu probable que l'un de nous change pour adhérer à celle d'autrui."
    C'est la notion de paradigme, le fait que 2 conceptions soient si différentes voires opposées, qu'un individu de l'une va assez peu probablement changer de camp, sauf si les arguments sont beaucoup trop solides (et encore, pas toujours, pur éviter la dissonance cognitive). Parce qu'il perçoit en fonction de son prisme socio-cognitif, construit depuis la naissance. Il acquiert d'abord des idées, croyances, normes, valeurs, idéologies par son environnement social : famille, camarades d'école, adultes. Par sa perception et son interaction avec l'environnement social, il acquiert des expériences qui viennent soutenir ou infirmer sa vision préalable, sachant que cette subjectivité intrinsèque oriente le traitement des informations envers les informations confirmant les croyances préalables ; il en va aussi de la rationalisation, càd chercher à avoir la perception de soi-même et de son environnement la plus appréciable, par rapport à ses cognitions préalables. Ainsi, la "Vérité", l'objet ne nous apparaît pas tel quel à la conscience, mais au travers de ce prisme, ce filtre. On est constamment dans un déséquilibre psychologique, entre nos cognitions précédentes et les nouvelles informations nous parvenant venant modifier ces cognitions, et ces cognitions intégrant ces informations en les modifiant de manière partiellement subjective. Quel que soit l'âge, même après avoir atteint la maturité psychologique potentielle vers 15 ans, l'objectivité n'est pas totale.  Pour appuyer mon propos, j'ai déjà énuméré plusieurs biais de raisonnement dans mon 2e message, tu n'as qu'à chercher leur définition et des exemples. Quant au exemples concrets : les religions, les idéologies politiques, les conceptions scientifiques conflictuelles, etc...

    "Sur ceux je te souhaite bonne continuation dans tes projets, en espérant que ton livre soit accessible aux plus grands nombres et remplis de consistances."
    Merci. C'est réciproque.

    "L'éloge de la fuite comme tu dirais"
    Argument très pertinent, que de sortir une phrase de son contexte pour l'appliquer à un autre. Tu te décrédibilises tout seul par tes sarcasmes foirés.

     

    "Qu'il n'y ai pas de mal entendu entre nous, tu m'as méprisé bien avant que je te méprise."
    Oui, j'en suis désolé.
    D'ailleurs tu continues encore, tu as gardé "destructeur d'anus" comme pseudo... Putain je me sens tellement détruit quoi...

    "Jamais tu n'as été "humble et respectueux" "
    Oui, je le reconnais, mais je parle de maintenant, et ça dépend du contexte (comme tout le monde). Et tu continues avec tes putains de TIPs... tu n'arrives plus à comprendre quoi que ce soit ? Ou est-ce que tu ne peux pas te représenter avoir majoritairement tort devant moi ce qui n'était jamais encore arrivé, et me jugeant un parfait connard narcissique raciste menteur stupide ? Je penche pour la deuxième hypothèse.

    "Et tu reviens deux ans plus tard, et tu ne l'ais toujours pas."
    Je sais plus quoi faire pour te faire comprendre la diff entre personnalité et comportement. C'était 2 messages en réaction à un texte précis et un auteur précis.

    "Tu pourra me dire que c'était ton comportement d'il y a deux ans, que tu as changé, et je te rappellerai que tu m'en veux pour des faits qui date également d'il y a deux ans."
    Je comprends totalement que l'on garde de l'antipathie pour des comportements anciens.

    "Il y a un moment il faut arrêter de se mettre des œillères et se regarder dans la glace. Mon mépris tu l'as provoqué par ton comportement, pas seulement par ton antipathie et ton mépris quotidien, non. Mais surtout pour tes mensonges honteux sur ta pseudo tentative de suicide : Je me suis prit de compassion pour toi car ayant vécu cette situation, et j'ai défendu l'indéfendable devant Martin, Ismaël et Soja qui avaient directement perçut le mensonge. Tu m'as fait ressentir un sentiment sur de la merde pour ton propre compte et je t'ai fait confiance. Alors peut-être que j'ai été trop excessif dans notre dernière échange par mail, c'est même sur que mon mépris été exagéré, mais regarde sa source avant de voir une quelconque injustice ou une incompréhension."
    Je me suis mal exprimé, je comprends cela aussi complètement. Cela ne m'empêche de garder moi aussi du ressentiment.

    "Je vois que depuis tu restes totalement obnubilé par "nous".
    Je comprends que ça paraisse contradictoire, j'aurais réagi pareillement. Mais mon changement d'attitude envers "vous" a moins de 2 mois, après avoir relu des textes d'anthropo politique réfutant la vision du "bon sauvage" . J'avais déjà un fort désaccord sur "La Nature Humaine", là la perception de différence entre nous a bien augmenté et donc ma sympathie pour vous.
    "
    Le mépris dont j'ai fait preuve te marque encore deux ans après" ça marquerait encore n'importe qui, par les ruminations dont je veux venir à bout.
    "tu envoies des mails à Ismaël en te faisant passer pour quelqu'un d'autre"
    Ca renvoit à une période en mars-avril où je déprimais fortement, et où je m'occupais comme possible.
    Quant au fait de venir critiquer un article, il en va de ma rancoeur et de critiquer des propos que je trouvent aberrants. Ca me permet aussi de grandement augmenter ma confiance. Et c'est putain de plaisant.

    "Donc je te trouve extrêmement vis-à-vis de lui, mais tu n'es pas à un aveuglement prêt."
    Pourtant depuis longtemps j'éprouve de la gratitude à son égard et "vous" tous en général, pour ces même raisons très précises, en y ajoutant la motivation à consulter des psychologues. Je pensais déjà avant de publier mon premier commentaire à vous envoyer un mail à ce sujet, mais maintenant ça passerait de l'hypocrisie totale voir du foutage de gueule. Enfin, d'ailleurs je pense que tu crois que c'est le cas ici.

    Malgré tout ça, cela ne supprime ma rancoeur vis-à-vis des blessures de mon estime.

    "
    Si je t'ai dit que les concepts "valorisation sociale" et "intégration sociale" sont compliqués, c'est non pas parce que je ne les comprend pas, mais parce que cela complexifie le propos au lieu de le simplifier et d'aller droit au but."
    Je comprends mieux.

    "Mais il est vrai que cela n'est pas ton but, de te faire comprendre, mais simplement de te "venger"."
    Dans ce cas précis, oui il y a cette motivation. Comme tout le monde, le but de débattre est de convaincre autrui de mes idées et d'apprendre de nouvelles connaissances. Ces connaissances étant plus ou moins intégrées selon la forme du débat, et mes croyances précédentes, car comme tout le monde je préfère garder mes opinions pour me sentir bien. On a ces 2 tendances : céder à de nouvelles opinions face à des arguments trop convaincants, et garder nos opinions précédentes. Chercher la raison et avoir raison comme tu dis. Bon après tu peux rationaliser en te disant que je généralise mon cas unique à l'homme en général.

    "Malgré tes "carences" que tu me sites, tu ne te dis même pas : "J'ai tel comportement qui me font faire de la merde à certains moment, est-ce que c'est le cas là ?"."
    C'est bien, tu arrives à connaître mes pensées au travers d'un seul comportement. Ne t'inquiète pas, je prépare moi aussi une liste de tes impressions.

    "Tu me reproches de "traduire des comportements isolés en traits de personnalités". Mais le truc c'est que ce ne sont pas des comportements isolés. "
    Par rapport à mon passé que tu connais, c'est cohérent oui. Mais par rapport à mon présent considéré entièrement et non juste quelques commentaires, ce sont des comportements isolés qui ne correspondent plus à ma manière de m'exprimer.

    "Si je t'ai reconnu bien que tu as dissimulé ton identité, c'est bien que ta critique transpire ce que tu es et qu'elle témoigne parfaitement de ton comportement. Si ce n'est pas le cas, comment t'aurais-je reconnu ?"
    Ma critique est mon comportement, un comportement dans ce contexte précis. Tu m'as reconnu par ce que tu crois que je suis, basé sur nos expériences passées.

    "Il me semble que quand je ne prononce pas le mot "narcissique", c'est que je n'en parle pas. La seule personne qui en parle c'est toi, et tu es même la seule personne à l'avoir pensé : "une partie des comportements que j'attribuais à un narcissisme". Alors merci de ne pas projeter sur moi tes névroses et tes propres accusations."
    Par narcissisme j'entends caractère prétentieux, méprisant, etc... tu sais très bien ce que signifie ce mot et tu me perçois ainsi. Voilà tes mots :
    "Si tu ne souhaite que écraser les gens pour montrer ta pseudo supériorité", Appart pour quelqu'un qui veut faire croire qu'il s'y connait plus que les autres ?" " ta réaction n'a rien d'une personne cherchant la compréhension et la construction" . Entres autres.

    "Je trouve également étrange que tu fasses une telle fixette sur des choses qui n'ont même pas été évoquées, comme le narcissisme et ton estime de toi. Mais ce n'est que mon avis."
    Tu m'as accusé tout le long de ta réponse de supériorité et prétention. J'appelle ça évoquer. Enfin c'est peut-être juste un désaccord sur le sens du mot. Quant à l'estime, il me semble bien que dans ta conception le narcissisme soit la conséquence d'une très faible estime de soi, un mécanisme de défense non ?

    "En ce qui concerne le libre-arbitre, [...] Donc oui, je pense que la liberté est un question de choix."
    Si tu concois le libre-arbitre comme une perception, je suis d'accord. Mais je pense que ce n'est qu'une illusion, pas un fait réel. D'autant plus que des gens que j'estime beaucoup sont partisans du libre-arbitre, je me demande souvent s'ils ont raison.

    "Si je résonnais comme tu le fais sur le libre-arbitre, dans ce cas tu n'as pas à m'en vouloir pour mon mépris : je n'avais pas le choix." Or c'est impossible subjectivement, car bien des facteurs t'échappe pour pouvoir affirmer une telle chose. Si tu étais convaincu toi même de ce que tu me dis, tu n'en voudrais à personne et tu ne ferais que comprendre les autres en comprenant ce qui les à amener à faire ci ou ça."
    Effectivement, croire au déterminisme donne des jugements de reproches moins durs que croire au libre-arbitre. Mais ça n'annule pas pour autant cette antipathie. Tu n'as qu'un raisonnement théorique pour affirmer que "si tu y croyais tu en voudrais à personne", alors que je peux te retrouver ces études expérimentales qui appuient ma position. De plus, si effectivement connaître les facteurs des comportements ferait qu'on n'y réagirait plus, alors les psychologues n'auraient plus de réactions psychologiques (enfin, celles dont ils connaissent les déterminants, étant chacun spécialisés dans un domaine très précis, le seul où ils ont une expertise totale) ; ce n'est pas le cas à ma connaissance. Les affects d'antipathie envers autrui pour ses comportements sont des fonctionnements psychologiques parmi d'autres, et sont tout autant régis par des lois causales. Ce n'est pas parce que je sais pourquoi je suis heureux que ce bonheur disparait, par exemple, ou que je sais précisément les raisons poussant quelqu'un à m'insulter que ça ne va pas me toucher pour autant.
    Évidemment, comme tout psychologue je ne connais pas l'ensemble des facteurs du comportement ; le libre-arbitre a tout de même été testé expérimentalement par Wegner, qu'il appelle illusion de volonté. Il en ressort que les sujets croient agir par leu volonté propre alors que ce sont les conditions situationnelles dans lesquelles ils étaient placés qui a généré ces comportements.
    Bien sûr, comme pour tout en science il est impossible de démontrer dans l'absolu que quelque chose n'existe pas. Mais il reste possible d'appuyer des théories par des arguments empiriques.

    "La seule raison qui pourrait te pousser à penser que tu n'as pas le choix"
    La seule ? Non, il a fallu que je lise et discute à ce sujet pour avoir cette opinion. Tu dis ca pour décrédibiliser mon opinion, tu m'accuses d'un raisonnement biaisé alors que le tien ne l'est pas moins. Tu illustres bien le réalisme naïf : concevoir ses opinions comme résultant d'une compréhension objective du monde et considérer celles d'autrui comme biaisées si elles sont divergentes des siennes.

    Je sais très bien que croire au libre-arbitre "empêche" de pouvoir féliciter ou reprocher autrui, c'est pour ça que je n'adhérais pas au début à cette conception. Et malgré mon adhérence maintenant, je continue à féliciter et reprocher à autrui et moi-même. Parce que je continue à avoir cette "illusion" de volonté.
    Avoir le choix et réfléchir sur soi est différent, car cette réflexion est permise par nos traits cognitifs, et causée par notre vécu, par nos échecs, par nos conflits avec autrui, etc... dans le but de s'adapter.

    De plus, croire à une opinion n'empêche pas formellement de pouvoir faire le contraire. Si je suis amené à le faire dans mon vécu en fonction des facteurs du comportement, alors je le fais. Ce n'est pas une question de capacité, mais de souci de cohérence entre idées et comportements. Ce souci est à la base de nombreux critiques absurdes envers autrui, du type : "t'es contre la civilisation, mais tu regardes la télé". Et agir, de manière contraire à ses convictions, ne démontre pas pour autant que ces convictions sont fausses ; ni que l'individu qui dit y croire n'en est pas totalement convaincu.
    Enfin, croire en le déterminisme n'empêche pas de garder une morale, de l'empathie et des états affectifs, et donc vouloir changer le monde autant que possible de la meilleure manière que je perçois, y compris mes comportements et ceux d'autrui que je désapprouve.

    "
    01. "tu penses dans ce cas que je mérite qu'on me méprise." "
    oui, bien vu . Pour penser que quelqu'un a du mérite ou est reprochable pour un comportement, il faut non seulement adhérer au libre-arbitre mais aussi à l'idée de bien et de mal. Voir d'autres choses.

    "u considère ma vision apparente de la psychologie et de l'ethnologie comme merdique. Très bien qu'elle est-elle ?"
    Je parle spécifiquement de la psychanalyse ; de ta conception de la personnalité ; de La Nature Humaine. A mon avis tu penses toujours, comme Isma (à peu près), que l'humanité est divisée en "primitifs" et en "civilisés", que la folie n'existe pas chez les "primitifs" , que dans ces sociétés la misère sociale, les guerres meurtrières entre tribus, etc... n'existent pas; En gros que c'est un paradis (presque) perdu. Je serai positivement surpris que ce ne soit plus le cas.



    "Belle impression affirmé comme un fait réel", je te retourne le retour du compliment (bon je ne me permet pas le luxe de numéroter). Je te rassure, tu ne fais pas mieux que moi.

    "j'ai évolué en deux ans , ça n'a pas l'air d'être ton cas malheureusement."

    "malgré tes études de psychologie, tu ne tire absolument aucuns enseignements de cette science"

    "Car ta réaction n'a rien d'une personne cherchant la compréhension et la construction, ce que tout passionné de psychologie recherche."

    "T'as tellement rien dans ta vie et dans tes actes"

    "t'en reviens toujours à parler de gênes pour justifier une quelconque supériorité"

    "Quelque chose dont les personnes comme toi ignore totalement l’existence."

    "tu n'es pas foutu de sortir leur simple pensée à laquelle tu prétends adhérer."

    08. "tu voulais convaincre le plus de gens possible de ta vision"
    J'aimerais que tu m'expliques pour quel but on essaye frénétiquement de débattre, présenter nos idées de la manière la plus claire et complète possible, si ce n'est pour convaincre autrui afin qu'il pense comme nous, et aussi pour afficher une bonne image à autrui, et se gratifier soi-même. Éclaire ma lanterne.

    "Il y a un moment il faut arrêter de se mettre des œillères et se regarder dans la glace."

    "regarde sa source avant de voir une quelconque injustice ou une incompréhension"

    " tu n'es pas à un aveuglement prêt"

    "cela n'est pas ton but, de te faire comprendre, mais simplement de te "venger""

    "Malgré tes "carences" que tu me sites, tu ne te dis même pas : "J'ai tel comportement qui me font faire de la merde à certains moment, est-ce que c'est le cas là ?"."

    "Mais le truc c'est que ce ne sont pas des comportements isolés. "

    "de ne pas projeter sur moi tes névroses et tes propres accusations"

    "sur des choses qui n'ont même pas été évoquées, comme le narcissisme et ton estime de toi."

    "La seule raison qui pourrait te pousser à penser que tu n'as pas le choix""c'est de t'excuser toi-même de tes comportements

    "Tu considère ma vision apparente de la psychologie et de l'ethnologie comme merdique. Très bien qu'elle est-elle ? Tu ne peux pas répondre ?" (je parle bien de ta vision apparente, et pas la réalité, donc je peux argumenter cette affirmation par tes propos étant donné qu'elle m'apparaît ; mais à mon avis ma vision de ta pensée est très proche sinon identique à ta pensée)

    "innéisme"

    "te satisfaire de faire de la merde" 

    03. "Si tu ne m'avais pas reconnu, tu aurais perçu mon texte autrement par non activation du stéréotype "Patoche" " Ah bon tu aurais perçu mon texte de la même manière ? Ton cas intéresserait les psychologues de la cognition sociale. RIen que ceci montre que tu aurais perçu ce même commentaire différemment, tu l'avoues toi-même : "Franchement je ne te connaîtrais pas, je me dirais que tu te fous de ma gueule."

    ""Il est également dommage que malgré tes études de psychologie, tu ne tire absolument aucuns enseignements de cette science, "Belle impression, affirmée comme une fait réel en plus...""
    Ah bon, tu arrives par un simple message à comprendre de manière absolue que je n'ai tiré aucun enseignement de cette science ? Bravo, quelle omniscience ! Tu dénies l'avoir affirmé comme un fait, alors que tu as exactement écrit "tu ne tire absolument" , au lieu d'écrire "j'ai l'impression que tu ne tires" ? Tu te fous complètement de la gueule du monde.

    "17. "Contrairement à toi je différencie bien comportement et personnalité." "

    Ah bon tu les différencies ? Alors tu vas m'expliquer toutes ces TIP : Jamais tu n'as été "humble et respectueux""Et tu reviens deux ans plus tard, et tu ne l'ais toujours pas""j'ai été trop excessif"  " je ne suis pas du genre à m'enfuir"


    "Pour conclure, je dirai que c'est une drôle de vengeance que celle de celui qui raconte sa vie et ses projets"
    Tu prétends, dans ton omniscience que me vie et mes actes n'ont aucun sens et tu crois que je vais me laisser me faire insulter ? Sachant que c'est faux ? Ah bah non, ça doit être qu'une impression... mince alors. Tu as l'air de tellement bien me connaître, que tu ne peux que penser que je fais de la merde...

    "La seule impression que dégage ton texte c'est que tu veux te défendre de ce que tu es car ce ne serait pas ta faute si tu es comme ça : innéisme, pas de personnalité, pas de libre-arbitre, pas de pensée par soit même, pas de "pourquoi", ect. Si tu veux penser que tu n'as aucuns pouvoir sur ta vie et te satisfaire de faire de la merde, c'est TON CHOIX. Ça te permet de jeter la faute sur l’extérieur..."
    Je te rétorque que tu adhères au libre-arbitre parce que : - notre société est imprégnée du libre-arbitre, on entend le mot choisir quotidiennement, donc ça détermine fortement l'adhérence à cette idée.
    - parce que notre conscience nous en donne l'impression.
    - parce que comme tu l'as dit, on ne connaît pas tous les facteurs du comportement.
    - parce qu'on aime nous sentir responsable de nos actes, nous féliciter de nos comportements et reprocher les leurs à autrui.
    Ah mais non toi tu penses par toi-même, tu ne raisonnes pas de manière biaisée...
    Le pire, c'est que tu ne réponds même pas de manière construite à mon explication de ta grande "sincérité", à mon argumentation sur la pensée par soi-même. Tu me dis juste que je pense ainsi pour me défendre, que mon jugement est biaisé. La qualité de ton argumentation m'impressionne. Fuierais-tu ? Je croyais que ce n'était pas ton genre ?
    Si je suis ta logique, c'est TON CHOIX de croire qu'on a le choix, pour donner une légitimité à tes attributions de mérite et tes reproches envers toi-même et autrui.

    Voilà mes arguments en faveur du déterminisme : le libre-arbitre postule qu'il existe une partie du cerveau des individus qui serait indépendante du reste du cerveau et de l'environnement de l'organisme ; c'est ce qui permet d'agir de manière "indépendante". Cela reste à prouver et je n'y crois absolument pas, pour ne pas dire que ça me paraît une aberration totale.
    J'ai déjà évoqué mes arguments sur l'illusion de volonté et la conscience.

    "Cela dit, j'attends toujours que tu "effondres" mon texte, et que tu me "massacre verbalement". Vois-tu, souvent la personne qui avait tort au début d'un débat ne va pas le reconnaître, par fierté et par besoin de cohérence. Tu n'es pas le premier (ni le dernier je pense) à qui ça arrive face à moi.
    Enfin contrairement au semblant, malgré ma forte impression d'avoir raison majoritairement raison, je garde le doute que ce soit le contraire, parce que j'ai du mal à comprendre qu'on puisse me balancer des arguments que je trouve autant aberrants. Quand je dis "on" ca ne s'applique pas qu'à toi mais plusieurs personnes qui m'ont raconté de la merde. Et j'ai suffisamment d'expérience pour ne pas trop croire et prétendre posséder la Vérité.

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